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Chat sauvage ▬ June Zelda Lovecraft

June Z. Lovecraft
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June Z. Lovecraft
Messages : 34
Date d'inscription : 20/02/2019
Two Zero - Darling in the frankxx
June Lovecraft
Nom : Lovecraft
Prénom : June Zelda
Age : 24 ans.
Groupe : Super héro.
Situation maritale : En couple
Métier : Super héros spécialisé dans la réhabilitation des super vilains en milieu carcéral.
Nom de super : June Zelda Lovecraft. Se changer et arborer une toute autre identité l'ennuie un peu il faut l'avouer.


les petites anecdotes

Claustrophobe. Si elle se fait suivre pour lutter contre une phobie devenue écrasante, feignant une sérénité relative à l'approche de salle qu'elle trouve souvent trop petite, il n'est pas question de la faire entrer totalement dans un placard ou passer par de petites issues. De plus, elle a prit pour réflexe de repérer toute les sorties théorique d'un lieu et ce, au premier pas esquissé. Parano sur les bords la jolie demoiselle.

• Grande habituée des teinture capillaire et usage de lentille de couleur, on raconte qu'elle s'est un jour présenté lors d'un recrutement pour la league de Thémis avec sa coloration argenté et de grand yeux d'azur et ce, pour tenter de faire passer son talent pour le jonglage comme un super pouvoir. Sans grand succès cependant ; Asma a mis à jour sa couverture au premier pas franchit dans la salle d'examen.

• Possède le long de son corps les affres de nombreuses aiguilles qu'elle cache méthodiquement derrière ses vêtements ou bijou, comme ses abondantes cicatrices d'ailleurs.

• C'est une grande sportive, elle pratique le patinage artistique et la Gymnastique Rythmique depuis sa plus tendre enfance mais n'est cependant jamais parvenu à en faire son métier. Elle a ainsi développé une grande souplesse et une grâce au bout de pas dès plus surprenante. Elle voue cependant une obsession véritable pour la perfection et n'a jamais hésité plus de deux secondes à aggraver une blessure sous prétexte qu'elle était à deux doigts de réussir une figure. Et connaissant son aversion pour les visites chez le médecin, autant vous dire que c'est catastrophique.

Harpiste autodidacte depuis de nombreuse année, elle peine pourtant encore aujourd'hui à lire une partition (ayant totalement délaissé le solfège au profit de la pratique, la vilaine).

• Voue un amour viscéral pour les comics, en particulier ceux qui traitent de Batman ou Harley Queen. Sa collection est monstrueuse, omniprésente, et menace toujours de s'écrouler sur les invités. Comme celle de goodies autour de la league de Themis par ailleurs..

Terrariophile capacitaire, éprise des reptiles depuis de nombreuse années, elle élève des pythons affricain et australien depuis qu'elle est entrée dans la ligue de Themis et semble trouver un peu de repos dans le soin de ses petits serpents et la contemplation de ceux-ci. Elle s'est également lancé dans l’aquariophilie marine depuis peu, s'étant entichée d'une petite étoile de mer renommée par la suite Starlord et subtilisé aux aquariums de sa belle Asma.

• Véritable chat sauvage, elle aime crapahuter ci et là et il n'est pas rare de la revoir couverte de bleu parce qu'elle s'est rétamé au sol en voulant passer par les fenêtres de son bureau, ayant sans doute oublié, une fois de plus, ses clefs à l'intérieur. Parce que oui, l'organisation et elle, c'est une histoire chaotique.

• Un jour, en réunion, elle a laissé échapper qu'elle appréciait au plus haut point les gemmes et cailloux aux formes / Couleurs inhabituelle. Depuis elle a une collection entière dans son bureau, construite aux grès des missions et voyages des super héro qu'elle côtoie, exposée fièrement devant la multitude de photo faite à la league de Themis.

• C'est le genre de fille qui met dix minutes, chrono en main, pour avaler une gélule ou médicament et qui est capable de faire des scènes mémorables pour échapper à la visite d'un médecin. Au point où l'escorter lors d'une visites médicales est clairement devenu une missions à part entière.

Son véhicule de prédilection est la moto mais son dernier bijou mécanique s'est vu ÉCLATÉ par un hero trop brusque. Elle l'a enterré autour d'un chocolat chaud et ourson en guimauve, fière de voir leur douce ville échapper aux mains des criminels mais non sans se dire que bon, le dit héro avait tout de même abusé sur la casse...

Assume sans grand mal avoir pour parents des criminels locaux. Sa mère était connue sous le pseudonyme de Royal Bumblebee, une super héroïne idéaliste s'étant doucement laissé choir au rang de chaotique mercenaire après de longue années pour, finalement, servir les pires raclures de New Haven. Son père est supposément un baron de la drogue et proxénète mais il faut avouer qu'elle ne l'a pas vraiment connu.

Son casier judiciaire à été effacé lors de son entrée à la league de Themis en échange de noms et témoignages à l'encontre de certain gros super vilains, néanmoins il murmuré qu'elle aurait couvert ses contacts les plus proche, et lui arracher des informations sur eux semble être aujourd'hui une tâche herculéenne tant la loyauté de Miss Lovecraft est légendaire.

Psychologie
Éternelle philanthrope au doux sourire, June se démarque par son approche dictame et cette voix si délicate que chaque mot semble devenir des caresses entre ses lèvres. Certain verrons en cette jeune femme une utopiste pleine de rêve, d'un optimisme à toute épreuve et pourtant conscient des réalités de ce monde. D'autre aurons plus de mal à se positionner devant ce regard si particulier et ce sourire en coin, d'une malice infernale. Cependant tous pourrons s'accorder sur ce tempérament sociable et confiant, peu farouche aux premiers abords.
Si June possède un talent dont elle est fière, c'est bien celui de nouer des relations en peu de temps, scellé dans un rire ou regard complice. Son carnet de contact est par ailleurs bien remplit, expliquant sans doute cette propension qu'à la demoiselle à savoir ce qui bat dans les artères de New Heaven. C'est un corbeau June, et son regard acéré semble en mesure de guetter tout ce qu'il se passe autour d'elle et ses proches. C'est peut être dans ce cadre d'ailleurs que miss Lovecraft laisse entrevoir au mieux son tempérament farouche, presque bestial. Territoriale, profondément clanique, c'est d'un oeil parfois trop dur qu'elle détaille les Hommes ramené par Asma ou son fils, allant même jusqu'à trépaner leur âme en silence et ce, du bout des guillotines qui lui servent de cil. Il ne faut pas déconner, au moindre signe de menace, elle mord jusqu'à l'éclatement des veines. Heureusement, le sourire revient toujours après quelques instants et la jolie June retrouve ses airs de parfaite princesse Disney en un clin d'oeil, une fois persuadée qu'aucune menace n'est à détecter.

Mue par un instinct de survie exacerbé, June a le sursaut facile et semble incapable de sombrer dans un repos total et réparateur, ne dormant au final que d'un oeil et ce, depuis des années déjà. Les insomnies sont devenue légion, piquée par les terreurs nocturne de sa compagne et les sentiments en vrac de son beau-fils et si June a finit par délaisser ses balades nocturnes au profit d'une contemplation de ses terrariums et sa confection de peluche en chaussette, il n'est pas rare qu'elle tombe de fatigue sur l'épaule de son apprenti lorsque l'action vient à manquer. Alors elle tourne au chocolat chaud cette éponge émotionnelle, à défaut d'apprécier l'amertume du café ou le manque de gout du thé, et se maudit trop souvent après avoir succombé à l’extra chantilly parsemé de guimauve. M'enfin...

Plaire est un art dans lequel elle excelle, écrasant sa propre personnalité pour correspondre aux attentes des autres et ainsi coller au plus près de leur coeur. Courbant parfois bien bas son échine afin d'épouser les envies d'autrui jusqu’à, finalement, trouver une place de choix à ses côtés, June est capable de se faire violence et taire  bien des parcelles de son égo pour embrasser ses ambitions. Irrésistible séductrice, elle a étudiée comment mettre chacune de ses courbes en valeur et en jouer en toute subtilités, consciente de sa beauté. Menteuse, manipulatrice sur les bords, elle n'a jamais eut froid aux yeux et c'est sans doute cette assurance à toute épreuve qui l'a porté jusqu'ici. D'un autre côté, si elle niche facilement tout contre les cœurs d'autrui, elle déteste être supplanter et n'hésite pas à tenter de créer des dépendances affectives autour de ses doux sourires pour ne par perdre sa précieuse couronne.

Mise cependant en confiance, June s'avère être bien plus vive que le pâle masque de poupée qu'elle tend en publique. Téméraire, amante des défis les plus improbables, pleine de lubie et décidément trop énergique, June est une tornade qui surprend et dépasse parfois les âmes pourtant les plus courageuse. Suivre son rythme n'est pas chose aisé, essuyer ses envies parfois enfantines non plus et pourtant, l’irrésistible moue qu'elle arbore dans ces moments là vaut tout l'or du monde.  Dramaqueen sur les bords, il n'est pas rare de la voir s'effondrer sur un canapé dans une pause digne des plus grande tragédienne, arguant quelques propos avant de feindre la mort. Pire encore, vous ne l'avez jamais vu face à Micah Blakesley. On parle de jeté de paillette et pose de diva tout de même. Exubérante ? Très certainement. Elle arbore un comportement des plus précieux, touchant presque au caprice par moment et si l'envie lui prend d'égrainer des roses pour prendre un bain parsemé de pétale, alors soyez certain qu'elle le fera dans les heures qui suit. Elle aime les mises en scène grandiloquente et déplore parfois l'attention qu'on lui refuse lorsque, depuis dix minutes déjà, elle se tape une pause de grand méchant et que tout les regards sont ailleurs.


Physique
Charmante, charmeuse, June est une jeune femme aux courbes félines et au regard intense. Si celui-ci arbore des teintes sylvestre au levé, il est chose commune de voir son doux visage vêtir des lentilles de couleur azur ou grise selon ses envies du moment. Ses traits sont délicat, similaire à ceux d'une mère louée autrefois pour sa beauté vénusienne et, s'ils trahissent par instant une certaine lassitude, c'est avec une aisance déconcertante qu'ils s'illumine en un simple sourire. Elle possède un visage terriblement expressif mine de rien et, s'il trahit régulièrement le cours de ses pensées, June a apprit à maîtriser ses muscles et les cristalliser autour de plus d'une moue allant d'une malice lascive au regard de chaton battu, passant par un froncement de sourcil sévère qu'elle peine pourtant à maintenir plus de quelques instant. Il a tendance à piquer son sourire et l'effet dramatique retombe comme un soufflet. Côté capillaire, c'est un champ de bataille. Brune à l'origine, sa tignasse est passé par le blond, le bleu, le blanc, un roux intense, des tests anarchiques et malhabile jusqu'à finalement soutenir depuis quelques années déjà des notes rosés. Il faut croire que June a finit par investir dans des perruques afin de préserver ce trésors capillaire sans pour autant entraver ses lubies esthétiques, cependant une récente envie l'a poussé à racheter quelques flacons de teinture et darder sur son beau fils des battements de cil digne des plus belle biche. Hélas il ne semble pas tellement motivé à l'idée de subir quelques mèches...
Ouvertement complexée par les discrètes rousseurs venue défier son teint de nacre, c'est avec grand soin que June les balayes du bout de ses pinceaux et fond de teint jusqu'à les faire disparaître comme ses cicatrices visibles. On parle ici d'une fille qui détient un doctorat fictif en cosmétique et une étagère complète dédié à ses produits et accessoires. Ajoutons à ceci sa collection de far à paillette et un hôtel dédié à ses boucles d'oreille raptor d'un vert pomme tout aussi pailleté, à sa couronne argenté et des bijoux extravaguant représentant dinosaure et serpent. Difficile de faire plus clichés. Et comme si sa garde-robe colossale ne suffisait pas, c'est en toute complaisance qu'elle pique dans l'armoire de sa compagne. Vous l'avez déjà peut être comprit mais June n'est en aucun cas le synonyme de « préparation rapide » au levé, vouant une obsession quasis maladive à son apparence.

Superficielle murmurons certain là où répondrait la concerné d'un haussement de sourcil. La plupart des super-héro côtoyé par son pas éthéré possèdent des pouvoirs offensifs, imposant le respect à la moindre exposition et, hélas, Miss Lovecraft ne peut se parer de pareil attribut alors elle a fait de son jolie minois la plus perfide des armes. Rusant et jouant de charme pour parfaire la toile de ses contacts, apposant ses griffes acérés sur quelques costumes pour cueillir les informations, quelques années seulement ont suffit pour propulser cette fille des bas-fond de New Heaven au plus haut de ses sphères. Survivre ou panser son égo ? Le choix avait été vite fait et s'il fallait qu'elle prenne encore aujourd'hui sur elle pour courber l’échine sous quelques regards libidineux, il y avait fort à parier qu'elle se ferait docile pour mettre son royal fessier en sécurité. C'est ce qu'on lui avait toujours apprit et cette technique sur lequel crachait son égo sans cesse lui avait pourtant sauvé la mise plus d'une fois lorsqu'elle écumait, petite,  encore les bas-fond de New Heaven.

Toujours perché sur les aiguilles de ses talons, sa démarche impérieuse est reconnaissable entre mille, suspendu entre une nonchalance quasis féline et des airs altier, prédateur. Hélas, si notre fauve au regard acéré opte pour des talons toujours trop grand, défiant parfois même l'équilibre et ses chevilles si fragiles, c'est que sa taille friserait presque le ridicule. Et elle complexe une nouvelle fois, pleurant à chaude larme sur ses rêves de mannequinat effondrés sous le poids de ce constat.
La grâce au bout du geste, souple, fine, ses proportions feraient pâlir les sculpteurs de la Grèce antique mais renferme en leur sein une tendance à l'anorexie que défit sans le moindre respect les talents culinaires de Diya. Parce que bon, personne n'a encore abordé le sujet hein, mais comment tenir un régime lorsque la tentation imprègne chacun des murs de la maison ? Grisant les sens de la demoiselle jusqu'à sournoisement l'attirer au dessus des casseroles fumantes ? … Et puis il faut avouer que l'amour irraisonnable de June pour le chocolat entre également en conflit avec une balance décidément trop sévère...

Dernier point à aborder. Si June se plaît à dissimuler ses cicatrices et les traces de piqûre, c'est avec la plus grande fierté qu'elle expose ses tatouages. Une autre petite obsession dans la vie de cette Lubique compulsive.
Histoire

L'histoire va être indigeste, je m'en excuse platement T..T

Si Royal Bumblebee avait jusqu'alors toujours côtoyé les artificielles lueurs de New Heaven, ronronnant sous les caresses de l'or et le baisé des diamants, c'est dans la crasse des faux bourg qu'elle avait donné naissance à son unique enfant. Seule. Les derniers mois l'avaient conduit à fuir encore et toujours les forces de l'ordre et s'il y avait bien  Ignition, l'un des fondateur de la ligue de Themis, pour lui promettre que sa reddition rendrait les jugements plus cléments, l'ancienne héroïne à la blonde chevelure demeurait sourde à tout appel et avait scellé son destin en soutenant de bien sombre cause. Ainsi donc, sa grossesse avait atteint son terme dans un dépôt insalubre, couronnée par les ténèbres et bercé par le pâle éclat d'une ampoule vieillit. June Zelda Lovecraft, tel serait le nom de cet enfant gelé par la morsure du froid, modifié bien des années plus tard par quelques procédés administratif afin de lui assuré un semblant de sécurité. Mélusine Var Seidhe, fut pourtant celui que murmura l'héroïne déchue lorsque se tourna vers elle les grands yeux vert de sa fille et, si aucune trace administrative ne permis de valider ce choix, n'était signalé à aucune autorité ou hôpital, ce fut pourtant le patronyme qu'elle arbora en grandissant. Mélusine donc, grandit dans les bas-fond de New Heaven, chérie par une mère aux allures de lionnes et veillée par un baron de la drogue qui semblait avoir placé sous ses ailes la mercenaire au regard d’émeraude et son enfant. Nightwatch.. Comment aurait-elle pu ne pas voir en cette figure si imposante un modèle à suivre ? Grand, le regard insondable et cet air de titan capable de faire ployer l'univers entier à chacun de ses pas, oui, elle avait toujours admiré ce criminel pourtant trop sévère, quoi qu'elle ai pu osé murmurer lorsque le poids de son regard délaissait ses épaules trop frêle. Il faut avouer qu'elle avait toujours été téméraire la jolie Mélusine, fondant au travers des ruelles sans la moindre crainte, osant soutenir sans ciller le regard de bien des Hommes de mains de celui qu'elle avait finit par nommer Père et, si beaucoup attribuait ce tempérament à de l’inconscience ou le manque d'expérience, Nightwatch avait aperçu le plein potentiel de cet enfant avant tout le monde. Un fin sourire en coin.

Les premiers signe de ce qui deviendrait plus tard un réel pouvoir apparurent très jeunes chez Mélusine, d'une manière aussi sournoises et discrète que l'avait été ceux de sa mère. Il fallait avouer que l'empathie exacerbé de la toute jeune fille n'avait rien de stupéfiant et que, au début, cette symbiose étonnante qu'elle partageait avec sa mère semblait tenir d'une nature fusionnelle, saisissante certes, mais qui ne tenait en rien de l’exception. Le temps passé l'une à côté de l'autre suffisait à expliquer cette aisance à décrypter les silences maternels. De même pour ceux de Nightwatch et des gardes du corps qu'elle avait toujours connu. Vient cependant ce jour où, toute jeune fille, téméraire et sauvage, Mélusine se mit en tête de suivre l'un des hommes de Nightwatch. Elle n'avait eu de cesse de lui murmurer de ne pas lui faire confiance et l'entêtement de son père avait finit par la pousser à agir, mue par un sentiment d'urgence qu'elle ne parvenait à expliquer. Convaincre les deux plus adolescents qui travaillait comme passeur de drogue pour le Baron local n'avait pas été difficile et c'était en fin de soirée qu'ils s'étaient essayé à cette filature de bas étage qui avait pourtant mobilisé chacun de leurs sens. Les heures passant avait confirmé l'echec cuisant de la mission et c'était une moue presque boudeuse au bout des traits que chacun s'était séparé pour rebrousser chemin. Seule, un froncement sévère au bout des sourcils et l'inquiétude plaqué au cœur, Mélusine avait finit par sentir une main se poser sur son épaule et, sans même lever le regard, compris l'ampleur de la situation.
« Jouer les fauves » eut ce jour là été un euphémisme tant la brune s'était débattu, allant jusqu'à mordre cette main qui cherchait à taire ses hurlements stridents et asséner un coup si bien placé qui lui avait conféré un net avantage lors de sa fuite à toute allure. Hélas, l'ombre l'avait rattrapé et ce fut dans un nouveau cris qu'elle avait tant bien que mal cherché du secours. Petite, elle été connu pour ses caprices et ses hurlements digne des plus grande harpie alors pourquoi son diaphragme lui avait-il ce soir là fait défaut ?

« Calme toi Mélusine, tout vas bien. »
Tu parles. Si elle avait pu plonger ses griffes et crocs sur ce visage tant bien que mal bienveillant, elle l'aurait fait sans la moindre hésitation, visant les yeux comme lui avait toujours apprit sa mère. Hélas, Mike avait apprit à connaître cette brune furie et se tenait à distance de ses mouvements entravés, comme de peur que les liens ne cède sous la vivacité de ses gestes. Le dialogue était impossible car Mélusine avait armé une mitraillette de « traître » et insulte à chaque fois que le blondinet osait entrouvrirent les lèvres alors, un soupire aux lèvres, il avait attendu qu'elle ne s'épuise. «Je suis policier », « Ou tu travailles dans la prostitution infantile ! », « Q-qu... Mélusine, je te ramène avec moi au poste et on te confiera à de bonne personne, d'accord ? »
…. De bonne personne ? Parlait-il des officiers qui avaient emporté oncle Jon ou des Super Héro qui avaient détruits des habitations au sud sous couvert d'un conflit musclé sans se soucier des conséquences humaines et matérielle derrière ? Et, alors que la demoiselle aiguisait son refus sur des airs farouche, un brui sourd la saisis de tout son être et vint à glacer les battements de son palpitant affolé. Une main avait finit par doucement se poser sur son épaule et pourtant, tétanisé, le regard fermement accroché à la tache qui grandissait à vu d'oeil au sol, l'enfant au regard humide était resté sourde aux murmures qu'on lui avait offert. Entrouvrant finalement ses lèvres pour osé un son qui n'était parvenu à sortir. Seule sa main avait finit par bouger, effleurant les projections vermeille venu souiller son diaphane épiderme, un tremblement au bout des doigts.
« Calme toi Mélusine, tout vas bien. »
Non. Elle vacille. Elle est persuadé que ce sang devenu invisible à son œil humide persiste sur sa peau, maculant, viciant son épiderme jusqu'à ronger plus bas. Elle le sent, c'est là, ça persiste malgré cette lingette désinfectante passé encore et encore sur sa peau. « Il n'y a plus rien princesse. », « Si... » Un murmure emplit de détresse, le malaise au bout des pas, jamais la digne héritière de Royal Bumblebee avait été aussi pitoyable que ce jour là, inconsolable malgré les étreintes d'une mère au mains couverte de poudre.

Frottant frénétiquement ses mains sous l'eau clair, Mélusine écoutait  le plan dicté ses comparses. Il faudrait être rapide et organisé : ils n'auraient que peu de temps pour rentrer dans cette maison et ressortir avec bijoux et carte bleu et, s'il s'agissait là d'un lieu connu ( le groupe ayant usé des charmes de la jolie brunette pour faire du repérage et tranquilliser le vieil homme), aucun d'entre eux ne souhaitait de voir attraper. L'exercice n'avait en soit rien de bien complexe, répété mainte et mainte fois si bien que l'expérience avait finit par piquer l'arrogance de certain, poussant le groupe à oser braver la surveillance pourtant resserré des supers. Faute à l'orgueil, le jeu ou ce sentiment d'impunité rare qui battait en eux ? Rien ne semblait, à l'époque, être en mesure de touchers ces précieuses petites racailles alors, se fondant parmi les ténèbres, raclant les ombre jusqu'à ne faire qu'un avec elle, les membres s'était faufilé un à un dans la bâtisse pour récupérer tout ce qui pourrait se revendre. Des butins plus minime avait été chapardé et c'est ainsi que Mélusine vint à acquérir ses premiers comics, piqué par le style d'une couverture qui avait séduit son oeil en une fraction de seconde.
La sortie se fit rapide et discrète, presque féline tant chacun avait apprit à se fondre parmi les ombres, et si Mélusine cru un instant se voir surprendre, comme lors de sa dernière expédition par un super héro venu la réprimander (autant vous dire qu'après avoir vu sa vie défiler quatre fois, le fait qu'il l'avait laissé partir sur un sermon l'avait totalement déboussolée et rendu parano. C'est presque si elle n'entendait pas un "I watching youuuuu" susurrer à son oreille. Brrrr... ), ce fut le vent qui lui jura amour éternel.

« Beast ! Arrête tout de suite, tu vas faire une connerie ! Max ! Tu sais que le f... MAX !»
Balayant d'un mouvement rageur les canettes de bières au sol, une ombre colossale hurlait, dominant de sa large mâchoire un jeune homme aux allures de torche. La Raison avait été balayé par le grisement prodigué par le cambriolage réussit, l'ivresse et cet action ou vérité qui avait lentement glissé vers quelques animosités refoulées. Le ton était monté, les regards s'étaient fait plus dur et, brutalement, les poings avaient finit par se serrer. Plus personne n'avait osé intervenir de peur de subir les conséquences d'un dérapage qui s'avérait déjà trop grand pour les épaules de chacun et, si certain osait encore crier ou prier la Raison, ce fut soudainement que Mélusine s'interposa entre les deux et fit face à Beast, corrompu par la haine.
Un murmure, un simple murmure avait figé cette ardeur destructrice jusqu'à finalement la conduire à courber l'échine. Un murmure, un simple murmure avait bravé le chaos pour imposer un calme tout sauf intuitif à cet ami de longue date qui s'était emporté et, inexorablement, la gueule écumante de Beast avait finit par choir entre ces deux minuscules mains tendu, offerte dans un triste sourire.
« Je pense qu'il est temps de rentrer à la maison. Allez, shoo. »
« Ay cap'tain !»

« Tu as trop d'emprise sur moi ma chérie.»
Un cris avait brutalement percé les ténèbres, mue par la peur viscéral de ne plus jamais voir la lumière du jour. Les suppliques avaient été vaine, les hurlements inutiles, et chaque appel à la pitié ou à l'amour filial qui l'unissait à sa mère s'étaient au final avéré aussi efficace que les premières tentative. Dieu que Mélusine haïssait quand sa mère décidait de l'enfermer dans ce minuscule placard, persuadée d'être influencer dans chacune de ses émotions par l'enfant qu'elle avait porté jusqu'ici. Elle n'avait que quatorze ans et pourtant Royal Bumblebee en était certaine, elle planait comme un vautour sur son coeur, contrôlant presque ce qu'elle pouvait ressentir jusqu'à finalement influencer ses choix. La solution avait été drastique, mettre autant de distance physique que possible entre ce spectre et elle et si cela prendrait trois jours pour qu'elle puisse se sentir un peu mieux, alors elle laisserait cette porte malmené par les coups close durant autant de temps.
« Je t'aime...»
Mais elle le sent ce poids venu éclater son cœur, lacérant chacune de ses émotions au rythme des cris que pousse sa progéniture par delà le bois. Elle ressent ce besoin irrésistible de lui ouvrir, cette terreur éprouvé vis à vis de son propre geste et pourtant, est-ce là des émotions produite par son être ou insufflé par cette terreur tapis derrière la porte ? Depuis que Royal Bumblebee avait comprit ce pouvoir qu'elle n'avait jusqu'alors qu'entre-aperçu, la paranoïa la tenait toute entière entre ses griffes. La déraison dévorait cet être déjà mis à mal par des années trop dure et, pour la première fois de sa vie, elle en venait à douter de celle qui fut pourtant tout pour elle.  Et Mélusine qui pleurait, qui lui jurait qu'elle ne cherchait aucunement à lui nuire et que si elle était parvenue à lui faire du mal, c'était aussi involontaire qu’inconscient, qu'elle porterait le monde à bout de bras si cela pouvait la racheter aux yeux de sa mère, qu'elle...
D'un mouvement brusque, celle qui fut autrefois si adulé avait poussé l'armoire de la pièce jusqu'au placard afin de le sceller, disparaissant au plus loin sans un mot afin de mettre fin à cette torture interne qui la dévorait coeur et âme.

« Je reviendrai... Promis. »
Suffocante, éclatant ses ongles contre cette porte qu'elle ne parvenait à forcer, Mélusine s'était laissé glisser le long du mur, épuisée et détruite. Si cela faisait maintenant un an qu'elle se voyait régulièrement cloîtré dans ce minuscule espace, jamais elle n'avait ressentit autant de terreur à l'encontre d'un séjour dans son placard. Cette fois, elle le sentait, quelque chose n'allait pas. Elle le savait. Sa mère ne reviendrait pas. Alors, mue par l'instinct de survie et cette terreur qu'elle n'arrivait à taire, la demoiselle s'était jurée de faire céder cette porte renforcé, épuisant ses muscles au grès des coups et cris portés et ce, des heures durant. Elle mourrait ici, difficile de réfuter le constat qui s'imposait à elle alors, las, à bout de force et les joues brûlées par les larmes, elle avait finit par ramasser ses genoux tout contre son ventre et clos son regard. Tout irait bien. Nightwatch, ses hommes ou sa mère viendrait forcément pour lui ouvrir.

Si Mélusine luttait contre la léthargie depuis de longue heure déjà, vacillant, sombrant de temps à autre avant de brutalement se ressaisir, ce fut cette fois un bouhaha extérieur qui la contrait à ouvrir les yeux. Quelqu'un déplaçait des meubles. Elle ne pouvait délirer ! Ramasser ses ultimes forces pour marteler à la porte un besoin irrépressible de fuite fut, sans aucun doute, le moment le plus intense de sa vie, celui qui scella son avenir autour d'un chemin des plus inattendu.
« Comment tu t'appelles ma puce ? »
L'horreur avait fait place à l'urgence de la situation lorsque les lampes torche permirent de mettre à jour l’épouvantable état qui tenait cette adolescente au regard usé, glissant un instant en direction de son insalubre et sordide prison.
« Janis. Janis Jackson... »
Si le jeune homme qui tentait de la rassurer d'un doux sourire, ce fut vers une beauté azurée que le regard de la demoiselle se tourna, quelque peu craintive. Ca, c'était Aquaria, l'une des fondatrices de la league de Themis, et Mélusine se savait dès lors prise au piège. Royal Bumblebee avait tellement diabolisé l'institution qu'il était difficile de se sentir plus ou moins tranquille au contact de tels costumes. Elle n'avait cependant pas la force de repousser cette attention qui se cristallisait autour de ses frêle muscle et ses jambes se dérobaient à l'idée même de courir le plus vite possible au loin alors, ce fut un nouveau malaise qui signa sa reddition totale.

Janis Jackson n'existait pas et si Mélusine aurait pourtant juré qu'il y avait forcément une Janis Jackson de son âge dans les environs, il devenait dès à présent clair qu'aucune fuite physique ne serait possible. Il y avait une agent des forces de l'ordre qui montait la garde devant sa chambre et l'autre qui refusait visiblement de lâcher les infimes contradictions qu'elle lui avait offert. Elle mentait, passer outre cette sensation était une hérésie, et pourtant elle le faisait avec une aisance déconcertante. Jouer de fausse identités, adapter son discours en fonction de l'interlocuteur jusqu'à fondre en larme sur commande, tel était les armes qu'on lui avait donné très jeune pour jouer sur l'empathie des autres et filer à la manière d'un chat trop sauvage lorsque l'attention roulait sur le côté. Et pourtant, faute à l'épuisement ou à la faiblesse de son coeur trahit, Mélusine n'avait plus rien de convaincante à offrir à cet oeil acéré qui semblait vouloir décrypter chacun de ses non dit alors, soudainement, elle osa feindre une fatigue irrépressible qui eut raison des questions du policier. Et il était partit, laissant place à un autre.

« C'est pas à moi que tu vas la faire, Miss Var Seidhe. »
Les questions avait reprit à son réveil, rapidement stoppé par un nom qui avait su arracher à Mélusine un premier tremblement. Comment avait-il pu la lier à ce patronyme là ? Instinctivement, elle avait cherché à sonder le regard d'une femme qui, pour toute réponse, éclata de rire au vu de cette moue qui s'offrait à lui. Elle était le portrait craché de sa mère lui avait-il murmuré avant de préciser qu'elle et lui avait longuement travaillé ensemble et que cela faisait bien des années qu'il cherchait à la ramener dans le droit chemin.
« Tu me connais peut être sous le nom de Ignition ?  »
« ... Mélusine.   »

L'affaire fut tiré à grand frais, titrant le sauvetage d'une enfant de super vilain par la grandiose league de Themis, sur médiatisé. S'en suivis bien des dossiers autour de Royal Bumblebee ressortis pour la peine afin de coucher sur les écrans de quoi substanter un appétit médiatique rendu trop avide. Autant avouer que faire ses premiers pas sous le soleil de New Heaven ne fut pas des plus simple et pourtant, porté par Ignition, veillé par un environnement plus sains, June finit par se faire moins fauve et adopter ce petit monde, rejoignant même les rangs des super héro sous le mentorat de celui qui forma autrefois sa mère. Elle avait été placé temporairement chez ce super héro à la retraite et si les désaccords pouvaient parfois nouer des relations électriques, ce fut bien vite que Mélusine lui accorda son entière confiante. Puis, doucement, Mélusine migra chez Asma Messaoudi.

Ce fut à l'age de seize ans que Mélusine demanda son changement d'identité, poussée par une réputation de traîtresse en devenir et taupe pour les pires raclures écumant à l'ombre des bas fond de New Heaven. Chacun de ses pas était associé à ceux de sa mère et il était vrai que la ressemblance physique, frappante, entre les deux n'aidait en rien la demoiselle à pleinement apprécier sa nouvelle vie. Désormais elle se nommerait June Zelda Lovecraft. June était le second prénom de Pride June Var seidhe, sa mère. Zelda le diminutif de Griselda, celui de sa grand mère et Lovecraft, enfin, un habile mélange de "love" et "craft", qui représentait bien les ambitions de la demoiselle. Elle ne marcherait pas dans les pas de sa mère. Elle ferait le bien, qu'importe les sacrifices qui paverait ce chemin...

Le temps passant, June finit par construire sa petite vie. Elle lâcha les missions de super héro pour se centrer sur la réhabilitation des super vilain en milieu carcéral et finit par doucement trouver une place contre le coeur d'Asma, celle qui deviendrait le leader de la league de Thémis. La cohabitation avec son fils fut tout d'abord complexe mais le Temps fit son oeuvre (et les soirées plaid, chocolat chaud, disney en attendant les retours d'Asma ont sans doute aidé à resserrer, avouons le ) si bien qu'aujourd'hui, une certaine complicité s'est noué entre Diya et June.
Capacités & équipements
Médaillon abeille: Il appartenait à sa mère et c'est aujourd'hui tout ce qui lui reste d'elle. Il s'agit là d'un bijou plaqué or de bonne facture, finement travaillé et renfermant en son sein une photo de sa mère à la maternité, un nourrisson dans les bras.
Trousse de maquillage sur le point de déborder : A paillette. C'est important de le noter.


Empathe : Douée d'une grande empathie, June perçoit les émotions qui l'entourent avec clairvoyance, apaisant les colères d'un battement de cil, pansant les pires douleurs affectives du bout de sa charmante voix et ce, pour finalement insuffler vaillance et fierté aux âmes venus choir au plus bas. Elle est douce la jolie June et c'est sans grand mal qu'elle se glisse au plus près des cœurs peiné pour les tranquilliser ou booster leur témérité si bien que, parfois, le contact seul de cette fée à la chevelure pastel suffit à booster les troupes. Elle fait appel à l'affect cette entêtante sirène, usant de doux regards et murmure pour charmer les cœurs venu nicher tout contre elle et les conseiller. Hélas, il est vrai qu'il lui arrive de se laisser dépasser par son pouvoir, peinant à mettre des barrière entre ce que les autres ressentent et ses propres émotions, aussi il n'est jamais bien rare de la voir douter de la véracité de ses propres sentiments. Est-ce que ce qu'elle ressent tient bien de son minuscule palpitant ou bien de l'écho de celui qui bat contre elle ?

Son empathie exacerbée est un passif qu'elle ne peut pas mettre en veille. Heureusement que ses pouvoirs ne trouvent leur plein potentiel qu'auprès de personne qu'elle côtoie régulièrement et donc, qu'elle connait bien. Jamais elle ne pourrait avoir d'emprise tangible sur un passant ou un visage rapidement aperçu au coin de la rue 4 jours sur 7. Il lui faut un contact, des des mots, un gestes, des sourires. Un certaine attention sans doute. Ça réduit sensiblement le bruit qui parasite parfois son cerveau...
Cependant, si le lien qu'elle établit avec sa cible est suffisamment forte pour qu'elle parvienne à influencer voir contrôler ses émotions, il implique que l'inverse peut être également possible. A moindre mesure, certes, mais possible. C'est pour cette raison que, dans le cadre de son travail, étant au contacte de manière journalière avec les pires Vilains de NH, elle est suivit par un psychiatre qui lui administre parfois la même drogue injecté sur les prisonnier afin de brider les pouvoirs de miss Lovecraft et éviter que son pouvoir ne joue trop sur sa santé mentale.


Costume : Un costume blanc, noir et rose, fortement inspiré de Spider Gwen mais dénué de tout masque qu'elle sort uniquement lors de grande occasion ou coup de marketing nécessaire. Elle a toujours assumé son identité et arbore celle-ci avec une fierté des plus étonnantes, bien que ce manque de discrétion ait pu lui attirer des ennuis par le passé.
Derrière l'écran
Pseudo:Hermine.
Comment nous as tu découvert: Via le staff.
Age : 23 ans.
autre choses? : J'ai commencé à lire les présentations de tout le monde, préparez vos fiches de liens !
crédits :Pinterest D8


Dernière édition par June Z. Lovecraft le Dim 7 Avr - 11:31, édité 4 fois






Micah N. Blakesley
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Micah N. Blakesley
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Pour le prix de Meilleure Mentore de l'Année 2050.... Ignis Far-...Oups, c'était le champion de l'année précédente. June Lovecraft ! (Cette référence ne peut qu'être appréciée grandement d'ailleurs)

*balance sa brioche-test de bienvenue officielle*
Bienvenue en tous cas, très chère June (ou devrais-je dire Mélusine ? D8) ! Enfin parmi nous ! J'ai hâte d'organiser des combats d'écrevisses avec toi ! On se fait ça quand tu veux, où tu veux Chat sauvage  ▬ June Zelda Lovecraft 117512820






June Z. Lovecraft
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June Z. Lovecraft
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J'ai juste, beaucoup trop hâte, de rp avec toi petite brioche au sucre Chat sauvage  ▬ June Zelda Lovecraft 126412345
Des bisous tout plein, prépare tout de même ta casquette de dresseur de pokemon, je réclame un combat d'écrevisse à ma validation !






Destiny
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Destiny
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Date d'inscription : 09/01/2019
Valide ! Ça surprendra personne mais te voilà VA-LI-DAY ! J'ai absolument rien à redire sur ta fiche, c'est long mais complet et constant. Hâte que tu vienne nous noyer dans plein de rp et de drama ♪

Je t'invite aller recenser ton avatar ici, ton alias si tu en as un  ici. Enfin, tu peux aller faire une demande de RP et faire ta fiche de lien. Oh et n'oublie pas d'aller recenser ton pouvoir par cette porte !
Chat sauvage  ▬ June Zelda Lovecraft 2270551881






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