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Eleonor Backstreet - Perfect Nightmare [TERMINÉ]

Invité
Anonymous
Reverse!Mabel - Gravity Fall AU
Eleonor Backstreet
Nom: Backstreet
Prénom: Eleonor
Age : 22 ans.
Groupe : Vilains.
Situation maritale : Célibataire à tendances volages.
Métier : Étudiante en droit économique.
Nom de super : Perfect Nightmare.
etc : écrire ici.
Psychologie
Elle était une personne exigeante avec elle-même et les autres. Elle ne tolérait pas moins que l'excellence, ne supportait pas voir la médiocrité et encore moins être elle-même médiocre. Alors quand un sujet lui était étranger, elle l'étudiait. Elle l'étudiait jusqu'à atteindre cette excellence qu'elle se devait d'avoir, elle avait la discipline pour. Il n'était jamais trop tard pour repousser ses limites, elle se devait de toujours plus les repousser. Elle se devait d'être meilleure, à défaut d'être la meilleure. Parce que si elle ne l'était pas, alors cette exigence ne serait qu'une pure hypocrisie. Et elle détestait ça. Elle avait conscience du facteur chance de sa perfection, mais elle savait qu'elle devait l'entretenir par une rigidité absolue sur elle-même. Sinon comment pouvait-elle oser exiger la même chose auprès des autres ? Ce serait, au-delà de l'hypocrisie qui la dégoûtait, injuste et contre productif. Si elle devait être parfaite, alors les autres aussi, et si elle dépassait toujours plus ses limites, alors eux aussi. Ils ne pouvaient être que meilleurs eux aussi.

Les autres. Quel étrange notion chez elle que les autres. Il ne fallait pas se méprendre, elle ne voyait pas en eux une bande de plébéien raté, même si certains méritaient amplement cette appellation. Ils étaient un potentiel, un potentiel inexploité car on ne leur donnait rien pour le faire. On les écrasait, leur disait qu'ils n'étaient pas assez bons, mais le pire à ses yeux étaient quand on leur disait qu'ils ne le seraient jamais. Ça lui donnait envie d'arracher des yeux. Si elle était parfaite, eux pouvaient être des maîtres. Des gens qui seraient forcément au-dessus d'elle sur un domaine. Et c'est ce qu'elle souhaitait ! Ça voudrait dire qu'elle aurait réussi à rendre quelqu'un meilleur. Quoi de plus encourageant qu'une personne aussi détestable qu'elle d'admettre un talent ? D'avouer qu'elle voyait le potentiel de la dépasser ? Elle était sensée être parfaite, une personne vraiment parfaite devait apporter ça. L'envie de se dépasser et de lui faire fermer son clapet.

C'était récent, cet intérêt pour les autres. Sûrement parce que pour la première fois de sa vie, elle se sentait incomplète. Même avec son horreur, même avec cet invité sensé lui apporter une sensation de plénitude elle était... Seule. Dieu, ça l'avait frappé avec violence, à quel point elle était seule sans son frère. A tout partager, à être dans leurs petits mondes, allant jusqu'à partager les mêmes rêves et le même lit. Puis, disparu, maintenant sous terre, et elle n'avait personne. Leurs parents adoptifs l'avaient déjà remplacé, un autre fils et ils s'attendaient à ce qu'elle le rende aussi parfait que ne l'était Edwyn. Ce n'était pas possible. Il n'était simplement pas parfait. Comment voulaient-il rendre parfait quelqu'un qui ne l'était pas ? La seule chose qui était possible était de le faire exceller dans son talent naturel. Et elle doutait qu'ils le voient comme l'enfant parfait avec cette passion pour le cinéma. Ils ne se posaient Jamais la question des bleus donc bon...

Mais parmi les autres, il y avait ceux qui ne voyaient que la chance. Qui étaient chanceux, choisi par Dieu lui-même à les écouter. Au-dessus de la masse, sans avoir à travailler car ils étaient chanceux. Pourquoi travailler quand on était parfait grâce à la chance ? Parce que c'était hypocrite. Ce milieux était rempli de gens médiocres, imparfaits, gauches et souvent raté. Ils ne veulent pas devenir meilleurs, ils veulent en avoir l'air. Alors ils se pavanent fièrement, montrant le faste et l'opulence, et rabaissant ceux autour d'eux car si jamais ils se montraient supérieur alors la vérité éclaterait. Ils ne sont pas parfait. Il n'y a rien à surpasser, rien à prouver. Ils n'étaient pas un idéal à atteindre ou contredire. Ils n'étaient que des poseurs avec de l'argent qui voulaient se sentir comme des dieux. Mais les dieux étaient imparfaits, inutiles et craignaient ce qui viendrait après eux. Ils ne voulaient pas être meilleur, juste se sentir supérieur.

Et elle adorait comment ils rampaient une fois dans son royaume.
Physique
Si elle devait donner un mot pour se décrire, ce serait sinistrement splendide. Une oeuvre d'art ambulante, ode à la beauté féminine sans jamais tomber dans le vulgaire de ces femmes qui ne trouvent que le rehaussage de leurs seins pour se sentir ne serait-ce désirable. Elle n'avait pas besoin de ça, sa poitrine avait déjà ce qu'il fallait, ses fesses dansant avec son déhanché naturel. Elle était une danseuse après tout, en tant que tel son corps n'avait que l'équilibre le plus parfait de ses formes. Toutes ces filles, face à leurs miroirs qui ne voyaient que leur grosseurs. Bien sûr qu'elles étaient imparfaites. Elles n'avaient ni la discipline, ni la chance. C'était ce qui rendait son corps si parfait, une bonne dose de chance et de discipline.

Oui, qu'elle était splendide parce qu'elle se donnait les moyens d'avoir cette taille de guêpes, ces seins fermes, ces fesses serrées et ces cuisse fine. C'était la discipline qui faisait ça, la danse, les bandages serrés, un régime alimentaire strict qui ne devait jamais avoir le moindre écart et qui n'en n'aurait jamais. Parce qu'elle était parfaitement disciplinée, elle connaissait ses rituels et savait à quoi ils servaient. Elle ne faisait pas comme ces filles sans éducation. Un burger, quel horreur tout ce gras. Bien qu'elle pouvait se permettre des écarts, elle n'était pas anorexique non plus. Qu'elle horreur, ces filles tels des squelettes si fragiles. Elles étaient si amusantes à entendre chuter, on croirait presque entendre leurs os se briser.

Oui, elle avait la dose de chance qu'il fallait. Un corps naturellement souple, une grâce hypnotique et cette peau de lait... Oh, que cette peau de lait lui plaisait. Quand on la caressait, c'était comme toucher de la soie et elle ressentait parfaitement le contact des doigts. Elle marquait facilement, mais c'était le prix à payer pour ces merveilleux frissons. Pudique ? Elle ? Bien sûre, mais rien ne l'empêchait d'apprécier le contact avec les autres. Sa peau si sensible rendait ses lèvres si parfaite délicieusement réceptives. Ses lèvres qui cachaient des dents, une dentition digne de ces pubs pour dentifrice. Elle avait les dents entretenues avec un soin maniaque, ses dents pénétrant la chaire sans aucun problèmes et laissant le sang couler dans sa bouche.

Son palais était raffiné, elle ne tolérait que l'excellence. Cette excellence, peu savaient vraiment l'atteindre et beaucoup prétendaient l'avoir. Comme toutes ces enfants de la haute, quel manque de goûts dans ces talons à diamants, quel vulgaire de hurler ainsi qu'elles avaient de l'argent. C'était comme les garçons avec leurs véhicules. Elle avait la discipline et le savoir vivre de porter des vêtements convenables. Peut-être un peu conservateur, mais qui pouvait lui en vouloir d'aimer les chemises à jabot ? Ceux et celles sans la classe nécessaire pour savoir porter comme il faut une jupe serré couvrant les genoux, accompagnées de sa petite paire de chaussures à talons plats. Il fallait tout faire suggérer, pour rendre l'instant où elle planterait ses ongles encore plus jouissifs.

Oh oui, elle était splendide, parfaite, disciplinée et sophistiquée. Pourtant elle avait ce petit raté, près de son oreilles gauche. Ce petit détail qu'elle voyait chaque matin, quand elle passait sa brosse dans ses long cheveux bruns. Quand elle mettait son ruban pour les maintenir loin de ces yeux. Elle le voyait, l'échec des chirurgiens à masquer l'opération qu'on lui avait imposé pour sauver son visage. Elle n'avait pas eu de chance. Elle n'avait pas eu la discipline. Parfois, elle revoit l'accident dans son esprit. Mais ce n'était que la simple conséquence d'un accident, elle restait parfaite, jamais besoin de maquille et le raté était là pour lui rappeler une vérité. Tant qu'elle avait la discipline, personne ne verrait ni sa cicatrice, ni la façon dont ses yeux bleus brillaient dans le noir.
Histoire
Elle avait bu. Ô combien indiscipliné de sa part. Ça lui arrivait parfois de boire suffisamment pour sentir sa tête tourner, une cigarette dans la main alors qu'elle était au bord.du lit de son petit frère Raphaël. Il lui ressemblait tellement, cet enfant, il lui ressemblait tellement et elle le haïssait pour ça. Il tremblait, la regardant avec appréhension alors qu'elle jetait sa cendre dans le cendrier. Son imagination était vive, elle le ressentait. Il avait peur d'où pourrait être écraser cette petite drogue douce. Son bras ? Sa tête ? Son torse, pas loin de son petit cœur ? Tentant. Elle posa son verre sur table de nuit du petit garçon, l'observant avec toujours plus d'attention. "Tu veux que je te raconte une histoire ?" Il osait à peine hocher la tête, comme prit d'une sorte de panique intérieure. Ah, qu'il était bon de le voir, à sa merci et craignant des horreurs qu'elle pourrait ne pas lui faire ce soir.

"L'histoire commence par un petit garçon. Il n'a jamais rencontré ses parents, peut-être l'ont-ils abandonnés ou peut-être sont-ils morts. Mais il était parfait." Oh oui... Il était parfait, poli, en si parfait contrôle sur tout. Avec ses cheveux et ses yeux, sa peau et sa tâche de naissance, sa voix et ses intonations... Il était comme elle, mais il était meilleur. Juste meilleur, aucun effort à faire ou de discipline à s'imposer. Il avait tout. Ô, qu'est-ce que le son de sa voix lui manquait encore... "Il était si parfait qu'un couple très riche voulu l'adopter sur le champs. Mais on le leur refusait. Si ils voulaient le garçon, ils devaient aussi prendre une petite fille..." Elle était comme lui. Elle était comme lui et ils pointaient toujours sa féminité comme une imperfection pour reprendre cet empire. Les fous... Elle l'avait déjà dans le creux de sa main parce qu'ils n'étaient jamais là.

"Il s'agissait de la moitié du garçon, sans qui il était vide. Toujours accrochés l'un à l'autre, toujours à être à l'unisson. Ils terminaient la phrase de l'autre quand ils ne parlaient pas en cœur, savaient ce que l'autre pensaient et partageaient jusqu'à leurs rêves. Ils n'avaient besoin de personne d'autre..." Elle grimaça à la sensation de manque. Elle voulait qu'il soit là pour achever sa phrase. Mais il était parti, depuis quatre ans maintenant. Et elle était vide, si vide, parce qu'elle n'avait plus son égal. Elle reprit son verre pour boire une gorgé. "Ils ne voyaient le monde que dans les yeux de l'autre. Se sentant capable de tout dans cette vie tant qu'ils avaient l'autre. Ils étaient roi et reine du monde des rêves, alors ils pouvaient être ceux du reste." Maintenant le trône du roi était vacant, et il resterait son souvenir douloureux de sa présence jusque dans ses rêves.

Elle regarda de nouveau son jeune frère par adoption. Il était tremblant, continuant de regarder la cigarette avec appréhension. Peut-être que ce serait plus drôle sous les pieds, afin qu'il souffre en marchant ? "Et... Et les parents ils disaient quoi ?" Elle tira un coup de sa cigarette, gagnant un frisson du jeune enfant dans son lit. Bien curieux cet enfant. "Il ne disaient rien, ils n'étaient jamais là. Ils n'avaient que l'un et l'autre, ils le savaient. Il y avait un vide quand ils étaient séparés, et quand ils étaient ensembles ils le comblaient." Comme ses morsures et empoignement lui manquaient, comme elle cherchait à combler son absence avec des relations de passages, comme elle voulait de nouveau lui déchirer la chair avec ses ongles et comme elle voulait le mordre jusqu'au sang. Elle avait le droit de le lui faire car il ne voulait pas laisser de marques sur son corps parfait.

"Puis, il y eu un accident. Un grave." Dans leur ivresse de pouvoir ils avaient oubliés combien les Barons détestaient voir leurs territoire être consommé. Ils détestaient encore plus quand il s'agissait de jeunes impudent sans respect pour les autres, car ils n'avaient besoin que d'eux-mêmes. Elle entendait encore le crash parfois. Son jeune frère la regardait étrangement alors qu'elle retournait à ces crissements de pneus et à la sensation de son crâne heurtant le siège avant. "Il est mort, sa soeur tomba dans le coma. Seule avec son royaume de rêves vide." Sauf pour cette horreur, celle qui lui donnait la sensation qu'elle pouvait tenir. "Alors, les parents firent trois choses. Ils changèrent la voiture. Puis ils firent réparer le visage de la fille. Et enfin..." Elle écrasa sa cigarette sur le front de l'enfant, le faisant hurler.

"Ils remplacèrent le garçon parfait par un autre fils, un enfant lui ressemblant jusqu'à la marque de naissance mais qui contrairement à lui n'avait pas les yeux bleus." Elle continuait de l'observer alors qu'il criait de douleur. Qu'elle le haïssait pour lui rappeler son défunt Edwyn et ne pas être lui. Qu'elle le haïssait de devoir faire de lui le nouveau Edwyn. Qu'elle haïssait leurs parents pour leurs stupidités. Elle retira la cigarette, prenant son poignet. Il avait un bleu. Mais elle ne faisait pas ce genre de bleus. Trop grand pour être son oeuvre. "Qui t'a fait ça Raphaël ?" Elle entendait l'enfant pleurnicher, murmurant le nom de son professeur de piano. Elle prit une gorgée de son verre, soupirant. "Quel dommage, tu fais de vrais progrès avec lui." Demain il sera mort pour le toucher ainsi. Elle était la seule à avoir le droit de le faire.

"Pourquoi tu fais ça Eleonor..." Elle soupira, posant délicatement ses mains sur les cheveux de son jeune frère. Pauvre enfant... Il ne pourra jamais être lui. "Parce que tu lui ressembles mais tu n'es pas lui. Et je te hais pour ça. Pas très rationnel n'est-ce pas ? Maintenant va dormir, demain tu te lèves tôt." Et demain elle avait un sabotage à faire préparer pour le bien-être financier des Backstreet.
Capacités & équipements
Objet 1: Un pistolet à seringue avec un jeu de morphine.
Objet 2 : Un générateur de son strident sa mère.
Pouvoir :Elle avait un royaume, et des sujets, et personne ne s'en doutait. Personne n'osait l'imaginer elle, ce corps léthargique, maîtresse de ces rêves et des cauchemars les plus noirs de cette humanité. Personne ne se doutait qu'elle pouvait faire de la vie des autres un enfer. Elle avait le contrôle absolu de ce monde de Morphée où elle se baladait sans aucun égard pour la vie intime des autres. Elle avait accès à beaucoup, aux peurs les plus intimes, aux secrets les plus inavouables et aux terreurs nocturnes les plus glaçantes. Bien sûr, on lui dirait que ce ne sont que des rêves qui ne régissent en rien la réalité. Elle en rirait. Elle en rirait car elle savait. Cet instant de repos pouvait vite devenir un instant d'horreur.

Elle régissait le domaine des songes avec la malice d'une enfant cherchant à casser ses jouets de toutes les façons possibles. Un cauchemar si intense qu'il pouvait réveiller sa victime était supportable une fois. Au bout de la centième, elle craquait. Elle ne pouvait pas blesser l'autre, mais elle pouvait lui donner la sensation de la réalité concrète de la chose. La sensation d'être écorché vif était vivifiante au point de réveiller son jeune frère avec des larmes intenses. Mais il vivait toujours. On ne tue pas par les rêves. On rend fou. On amène aux derniers retranchements. Et Dieu, les humains sont si fragile quand ils sont seuls face à leurs cauchemar. Elle le savait, elle l'avait goûté. Mais maintenant c'était aux autres.

Elle aimait surtout cette notion de rêves éveillés. L'individu si absorbait par sa propre imagination qu'il en oubliait le réel un bref instant. Alors... Elle profitait. Distordait ce bref instant de béatitude. Ce n'était pas aussi intense que lors de ses plongées dans son royaume d'infini, mais le petit effet était présent. C'était suffisant pour instiller un sentiment ou faire germer une idée. C'était amusant, d'avoir sous sa coupe ce royaume de l'imaginaire. C'était plus qu'amusant de rappeler aux autres leurs propres imperfections pour les pousser à la dépasser ou à tomber dans la démence. C'était hilarant de sentir la fin du sommeil d'un autre en étant expulsé de sa rêverie. C'était délicieux de se confronter à un rêveur lucide qui se croyait le maître, avant de découvrir qu'elle connaissait bien plus de secrets que lui sur comment régir l'esprit humain.

C'était parfait de rappeler quel était son domaine, même face à ceux qui le foulent en parfaite conscience et qui le contrôlent autant qu'elle.
Costume : Une tenue de soirée avec un masque, ou un smoking en cas de mission plus physique. Son apparence est bien plus variable dans les rêves.
Derrière l'écran
Pseudo: Rip
Comment nous as tu découvert: Via partenariat
Age : 22 ans
autre choses? : Je n'ai qu'un téléphone, faudra être gentil. Et j'ai eu un mal fou à faire la fiche à cause de ça.
crédits : Mon avatar est reverse Mabel, mais j'ai plus la source de l'image. Sorry.






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Admin
Destiny
Messages : 133
Date d'inscription : 09/01/2019
Valide !Bam fiche validée ! Te voilà fin prêt à affronter New Heaven et ses dangers ! Les changements apportés sont nickels! décidément New Heaven va avoir à dormir sur ses deux oreilles avec un perso pareil ! Hâte de voir son avolution !

Je t'invite aller recenser ton avatar ici, ton alias si tu en as un  ici. Enfin, tu peux aller faire une demande de RP et faire ta fiche de lien. Oh et n'oublie pas d'aller recenser ton pouvoir par cette porte !
Eleonor Backstreet - Perfect Nightmare [TERMINÉ] 2270551881






 
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