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- Sujet: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Mar 2 Avr - 6:24 Comment s’était-elle retrouvée devant la porte du grand boss de son organisation criminelle qui ‘’l’employait’’ ? Comment est-ce qu’elle avait passé de son petit appartement merdique à cette grande porte imposante qui avait deux gardes aux airs très menaçants? C’était très simple, en fait. | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Mer 3 Avr - 16:25 Takashi venait d’arriver au domaine qui faisait office de quartier général du clan. Ce dernier venait d’être entièrement construit. En effet, suite à l’attaque rebelle qui avait eu lieu en 2049 détruisant la plupart de son QG à l’époque, le japonais avait dû changer l’emplacement vu que celui-ci était compromis. Il avait donc décidé de recréer une partie d’un domaine qu’il possédait au Japon. Il avait choisi un terrain en périphérie proche de la ville, dans un quartier calme, ce qui leur permettait de mener leurs opérations en toute discrétion. Lorsqu’il foulait le sol de la propriété, il ne pouvait que ressentir de la fierté en voyant la beauté de l’ouvrage. Il devait bien être un des rares à avoir investi autant dans la décoration pour un bâtiment qui serait principalement rempli de criminels, d’armes illégales et de drogues. Les derniers rayons du soleil venaient mourir dans les feuillages des arbres lorsque le japonais s’installait à son bureau commençant à remplir ses devoirs journaliers d’Uji no kami. Il avait dû passer la journée à s’occuper du Kobayashi group à cause d’un litige avec une entreprise sous-traitante. Mais alors qu’il parcourait des yeux son écran, il entendit la porte s’ouvrir au fond de son bureau n’y ayant prêté que peu d’attention jusqu’à ce qu’une voix féminine bien qu’inconnue brisa le silence. H-hum… Excuse me I huh… Mr. Kobayashi I-I came to announce my departure from your business… I… Le japonais n’avait pas pris la peine de lever les yeux sur la personne qui venait d’entrer dans son bureau mais lorsqu’il comprit ce qu’elle venait de lui dire, il dut se retenir de s’exclamer : « Nani ! ». Il se demandait qui était cette impudente qui se permettait de venir dans son bureau et de lui dire de telles sottises. Il décida de stopper ce qu’il était en train d’écrire afin de juger l’imbécile qui venait le défier sur son domaine. Il lui fallut toute sa concentration pour ne pas laisser transparaitre sa surprise quant au physique de la jeune femme. Son visage était pourvu d’une rangée de dents monstrueuses là où aurait dû se trouver ses joues. Il prit son temps pour l’examiner oubliant totalement de répondre à celle-ci et la laissant attendre dans le silence. Finalement intrigué par sa difformité, le japonais décida d’écouter ce qu’elle avait à lui dire. Il imaginait déjà plusieurs utilités à celle-ci. I didn’t catch your Name. Could you introduce yourself before asking me what U are expecting from me. Takashi ne put se retenir de sourire. Ce dernier pouvait être facilement pris pour de la gentillesse mais le chef de clan jubilait en réalité. Il avait remarqué la tension et le stress qui habitaient entièrement l’inconnue. Il aimait à savoir que sa présence puisse incommoder autant une personne. Et la brune avait commis l’erreur de lui manquer de respect, il n’avait donc aucune intention de lui faciliter la situation. And u can start calling me Kobayashi-Sama... as it should be. En effet, ici, en tant qu’Uji no kami, chaque membre du clan lui devait le respect et se devait de l’appeler par son nom suivi de sama. Takashi était l’autorité la plus haute de sa famille et du clan. Chaque Uji no kami se devait de se faire appeler sama, il en était ainsi depuis la création de leur clan. Avant la mort de son père, ce dernier était le sama et Takashi se faisait appeler –san comme chacun de ses frères. Now explain yourself about the reason that brought you here today. La politesse aurait voulu qu’il invite sa subalterne à s’asseoir en face de lui mais il n’en fit rien. Il se cala au fond de son fauteuil, ses iris marron rivés sur les yeux de l’inconnue. Il souhaitait d’abord en apprendre davantage sur celle-ci avant d’adapter son attitude à une autre plus appropriée pour son cas. Pour le moment, la froideur était le maitre mot de chacun de ses gestes et expressions. | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Jeu 4 Avr - 3:07 Le Japonais leva la tête et regarda Rosemarie, mais ne dit rien, laissant la voix de la belle résonner dans sa propre tête. Les secondes passaient, mais il ne disait rien. Est-ce que… Est-ce qu’elle l’avait dérangée ? Elle était quand même arrivée sans aucun avertissement… | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Ven 5 Avr - 17:37 In the Dragon'den feat. Rosemarie Le japonais avait remarqué les tics de la jeune femme qui trahissaient son stress. Il savait qu’il l’intimidait et nota cette information dans un coin de sa tête, c’était un avantage qu’il ne devait pas perdre. Il ne la coupa pas et attendit en silence qu’elle eut fini de s'exprimer malgré les pauses qu’elle prenait. Elle évoqua un certain Jacob mais ce prénom ne lui évoquait rien, elle devait sûrement référer à son supérieur. Mais en fin de compte, peu importe son poste, il ne lui était d’aucune importance et l’oublia aussitôt. Quoiqu’il puisse permettre à ce dernier de se renseigner sur elle, il souhaitait donc le convoquer. Il se demanda quelques secondes quelles pouvaient être les relations entre Rosemarie et ce Jacob. Si ce dernier l’avait envoyé ici intentionnellement, il ne devait pas beaucoup apprécier cette dernière. Car la dentition unique de la dealeuse l’avait sûrement sauvé d’une triste situation mais l'inconnu ne pouvait pas savoir que Takashi allait leur trouver un intérêt. By the way, who is that jacob ? Do you know his full name ? Or could you tell me what does he do ? Le jeune uji no kami examinait la brune, toujours intrigué par la monstrueuse déformation de son visage. Il n’en avait pas peur car la jeune femme ne se mettait pas en position d’intimidation. Comment pourrait-il avoir peur d’elle alors qu’elle tremblait du simple fait de se tenir dans la même pièce que lui. Mais malgré cette faiblesse, il pouvait la former et l’utiliser comme arme de dissuasion. Il était certain qu’elle pouvait faire forte impression lors de ses rendez-vous avec ses partenaires. Well Rosemarie. I understand your concern and I understand that sometimes, our way of life can be pretty hard to bear. But tell me, u wish to leave but did u really think about it ? Have u thought about your next job ? Where do u live right now ? And it’s too much, what do u mean exactly by that. U said u have been working for me for over a year now so U have been able to live your life thanks to me, I think I deserve to know the reason that pushes u away. Why would U fail our clan ? Takashi espérait ne pas avoir effrayé la jeune femme par tant de questions mais elle représentait un atout qu’il pouvait utiliser. Et il comptait bien sur le fait de l’utiliser. Elle semblait fragile, et il souhaitait en apprendre davantage sur les motivations de la jeune femme. S’il souhaitait l’employer pour ses desseins, le japonais avait besoin de connaitre cette dernière du moins il devait en apprendre assez pour savoir quelle carotte agiter et avec quel bâton la menacer. (c) Never-Utopia | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Sam 6 Avr - 4:18 Toujours très nerveuse, en présence du boss des Yakuzas, Rosie jouait avec une mèche de ses cheveux noirs qu’elle tournait autour de son index. Il semblait l’écouter avec attention, plantant ses yeux dans les siens, si celle-ci était capable de le regarder dans les yeux. Rosemarie avait toujours eu de la difficulté à faire ça et là, en plus, c’était le patron criminel des Yakuzas… C’était un peu plus imposant qu’un étranger. | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Mer 10 Avr - 23:13 In the Dragon'den feat. Rosemarie Jacob is my… Drug provider. He’s the one that huh… Gave me this job. Alors que la jeune femme lui donnait le nom de Jacob, Takashi saisit son ordinateur et pianota sur son clavier. Il venait d’envoyer un message à un de ses proches conseillers lui demandant de lui trouver un de leur fournisseur nommé Jacob. Le japonais ajouta l’instruction qu’il devait informer ce Jacob qu’il était attendu le plus tôt possible dans son bureau. Il ferma son navigateur après l’envoi du message, il ne s’attendait pas à une réponse avant plusieurs heures au moins et il put reporter son attention sur la dealeuse. I mean I thought I’d thought about it but… I… I-I don’t know what my next job would be I haven’t… Thought that far I’m… Yes, thanks to you, Kobayashi-Sama, I’ve had a roof on my head, but… But i… This building is so… It’s barely a livable place! I-I feel like I’m gonna get attacked or raped everytime I get out of my apartment!! And I barely make enough money to buy food for myself I…. I CAN’T take it anymore!!! I… I-I’m really sorry… Kobayashi-sama… I… I didn’t want to scream I’m…. Terribly sorry… Le japonais venait d’assister à l’effondrement de la brune, littéralement. Elle gisait sur le sol à genoux. Il ne se vexa pas lorsqu’elle haussa la voix, il aurait pu la punir pour son manque de respect mais l’état pathétique dans lequel elle se trouvait était bien suffisant à son goût. Elle n’était que faiblesse, incapable semble-t-il de se battre pour elle-même. Elle semblait piégée dans ses ténèbres les plus profonds, ce qui arrangeait bien le mafieux. Elle n’était qu’une arme posée sur le sol, il n’avait qu’à se baisser pour la ramasser et l’utiliser comme bon lui semblait. Il se leva et s’approcha d’elle, il lui tendit la main afin que celle-ci puisse s’aider pour se relever. Lorsqu’elle fut de nouveau sur ses pieds, le japonais reprit la parole. I understand, well follow me. Dry your tears and compose yourself, we don’t want to let the others see you like that. And I have something to show you. Il s’éloigna laissant la brune le temps de se préparer à sortir de son bureau. Il enfila son manteau et rangea son arme dans l’holster accroché dans le bas de son dos. C’était une habitude qu’il avait prise de ne jamais laisser son arme dans son bureau ou à son appartement. Lorsqu’elle fut aussi prête, il la guida jusqu’au garage du bâtiment où il l’invita à monter dans une voiture noire, celle-ci laissait transparaitre le luxe auquel était habitué le japonais avec ses sièges en cuir et les accessoires qui n’équipaient que les voitures les plus chères. Il programma la destination de la voiture qui se trouvait dans le West shore sans donner aucune information à sa passagère. La voiture était conçue pour qu’ils puissent s’asseoir l’un en face de l’autre, Takashi étant dans le sens de marche de la voiture. (c) Never-Utopia | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Jeu 11 Avr - 6:19 Le voilà qu’il se levait. Il se levait pour se diriger vers elle, sans aucun commentaire. La jeune femme savait qu’elle n’aurait pas dût crier, mais… Elle n’avait pu s’empêcher. La frustration de vivre dans un bâtiment comme celui dans lequel elle était, s’était accumulée depuis qu’elle était là et… Ça avait explosé. Toutes les fois ou elle avait entendu des gens se faire battre, ou engager des prostituées, ou juste faire du bruit en général quand ils étaient dopés à mort, c’était… beaucoup trop. Rosemarie avait tout dit ce qu’elle avait sur le cœur, mais peut-être qu’elle aurait mieux fait d’aller se plaindre à quelqu’un d’autre. | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Dim 14 Avr - 5:13 In the Dragon'den feat. Rosemarie Le voyage se déroulait calmement dans le silence ce qui ne dérangeait pas le moins du monde le japonais. Il regardait les bâtiments défiler devant ses yeux alors que la voiture les conduisait à leur destination. Mais il fut dérangé et tiré de ses pensées par la voix de Rosemarie. Hum… Kobayashi-sama? Can I…. Can I ask where we’re going ? Il posa lentement son regard sur elle inspectant une nouvelle fois son bien et jugeant de son potentiel et de l’investissement maximal qu’il serait prêt à apporter. Au vu de la rareté de sa mutation, le japonais serait prêt à sacrifier quelques milliers de dollars et un peu de son temps pour la garder en son pouvoir et s’assurer de sa loyauté. Tu peux me le demander en effet mais je ne vais pas te répondre… pas pour le moment du moins. Fais-moi confiance, tout prendra sens en temps voulu. Et juste ainsi, le chef du clan Kobayashi retourna à son silence pour le reste du voyage qui ne dura qu’une dizaine de minutes, le trafic étant faible à cette heure de la soirée. La voiture émit un bip et s’arrêta devant un bâtiment moderne en périphérie d’un quartier résidentiel du West Shore. L’immeuble avait été construit il y a quelques années mais le Kobayashi group venait d’en devenir le propriétaire seulement récemment. Il invita la jeune femme à le suivre alors qu’il entrait dans la bâtisse et qu’ils montèrent dans l’ascenseur avec pour objectif le 4ème étage. Il sortit une carte magnétique temporaire et déverrouilla la porte d’un des appartements. Allume les lumières et ouvre les volets. L’intelligence qui gérait les commandes vocales obéit et dans la seconde révéla la pièce. L’appartement était déjà équipé et meublé, Takashi l’avait préparé pour l’offrir à un de ses conseillers. Mais il avait à présent d’autres plans pour le bien. Quant à son conseiller, il n’aurait aucun problème à lui trouver un autre cadeau et il ne doutait pas qu’il puisse même en trouver un meilleur que cet appartement. Ce dernier restait propre et moderne mais il ne faisait qu’une quarantaine de m². La pièce dans laquelle il venait d’entrer était composée d’un salon et d’une cuisine ouverte. Sur la gauche, on pouvait apercevoir une porte qui menait sûrement vers la chambre mais l’obscurité régnait derrière l’encadrement. Quant à la droite du japonais se trouvait une grande baie vitrée qu’il ouvrit afin d’atteindre le balcon qui offrait une vue sur la ville de New-Heaven. Rejoins-moi. Il attendit que la jeune femme l’ait rejoint et qu’elle ait eu le temps d’admirer la demeure dans laquelle elle se trouvait. Qu’en penses-tu ? Il jeta un autre coup d’œil à la pièce qu’il venait de quitter, son regard balayant le canapé et les autres meubles disposés. Il n’avait commandé que le strict minimum mais de ce qu’il avait compris, ce « strict minimum » était déjà une amélioration nette du train de vie de la brune. (c) Never-Utopia | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Lun 15 Avr - 22:13 Rosemarie avait rapidement compris, après sa question, qu’elle devait être patiente et ne pas déranger inutilement Takashi. Rosie ne dit plus un mot du voyage, regardant dehors, les lumières qui passaient devant ses yeux dorés. Même si le voyage ne dura qu’une dizaine de minutes, pour la belle brune, ça lui parut au moins deux fois plus long. Ne sachant pas quand la voiture allait s’arrêter, ni ou ils allaient, des milliers de questions se posaient dans sa tête, mais la jeune femme se retint de les faire passer la barrière de ses lèvres. Elle ne voulait surtout pas manquer de respect envers son patron. Pas plus qu’elle ne l’avait déjà fait, aujourd’hui, en lui criant après. | |||||
- Sujet: Re: In the dragon's den - Takashi Kobayashi • Sam 27 Avr - 15:58 In the Dragon'den feat. Rosemarie It’s…. Very nice. Is this… Your home ? Le japonais allait répondre à la jeune femme mais il put voir à son visage qu’elle regrettait sa phrase et ceci se confirmait puisqu’elle se reprit. I-I mean… Once of your homes ? Well not really. It belongs to my company but I do not live there. Actually, it was supposed to be rent but I suppose I could let the people working for me renting it at a lower price. You could still be a dealer if you want in your free time. But I would like you to be my bodyguard at some meeting. And I could need your help some other time but you will mostly just have to be my bodyguard. And you could live there, in this apartment… as long as you work for me. Et bien pas vraiment. Il appartient à mon entreprise mais je ne vis pas ici. A vrai dire, il devait être loué mais je suppose que je pourrais laisser des personnes qui travaillent à mon compte les louer à un tarif réduit. Tu pourrais continuer tes activités de dealer si tu le veux dans ton temps libre. Mais j’aimerai que tu sois principalement mon garde du corps à certaines occasions. Et je pourrais avoir besoin de toi à d’autres occasions mais tu auras principalement pour tâche d’agir comme garde du corps. Alors, tu pourrais vivre ici, dans cet appartement… aussi longtemps que tu travailleras pour moi. Sur ces mots, il retourna dans le salon et s’installa sur le canapé comme s’il était chez lui. Enfin il était chez lui. Mais l’esprit du japonais était préoccupé. Il souhaitait demander à la jeune femme les limites et les possibilités de son pouvoir mais avec le peu d’estime qu’elle semblait avoir, il avait peur de la froisser. Non pas qu’il ne s’intéresse à ses sentiments, cela lui importait bien peu. Mais il l’avait déjà vu se ridiculiser une fois en tombant en pleurs, il n’avait pas besoin de le voir une seconde fois et surtout cela pourrait la pousser à refuser son offre. Il enchaina alors ne laissant pas le temps de répondre à la jeune femme. But before you accept my proposal, i need to know more about your... Abilities. Do you know how to fight? Use a gun? And your power? Il fait un signe en désignant la mâchoire I’m sorry if this bother you to talk about it. But I need to know what are capable of the people that are working closely with me. Mais avant que tu acceptes ma proposition, j’ai besoin d’en savoir plus sur tes compétences. Est-ce que tu sais te battre ? Utiliser une arme à feu ? Et ton pouvoir ? Je suis désolé si en parler te dérange. Mais j’ai besoin de savoir ce dont quoi sont capables les personnes qui travaillent étroitement avec moi. Il n’était absolument pas désolé et il ne comptait absolument pas travailler étroitement avec elle, elle n’était qu’une personne. Bien qu’elle soit unique, son apparence ne la rendait cependant pas irremplaçable. Et cela pouvait peut-être se sentir car malgré la douceur de ses mots, son visage restait très fermé et froid. Si ses paroles incitaient une sorte de rapprochement, son expression rappelait la distance qui séparait la jeune femme du japonais. (c) Never-Utopia | |||||
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