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In the dragon's den - Takashi Kobayashi

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Comment s’était-elle retrouvée devant la porte du grand boss de son organisation criminelle qui ‘’l’employait’’ ? Comment est-ce qu’elle avait passé de son petit appartement merdique à cette grande porte imposante qui avait deux gardes aux airs très menaçants? C’était très simple, en fait.

Alors, allant voir son fournisseur de drogues plus tôt, dans la soirée, Rosie lui avait demandé une question simple : Comment quitter la business de vente de drogue. C’était la décision qu’elle avait prise et elle était certaine d’elle-même. Son fournisseur lui avait simplement dit, d’un ton un peu moqueur, qu’elle n’avait qu’à aller voir le boss pour lui annoncer la nouvelle. Il faut avouer que cette réponse étonna la belle brune, puisqu’elle n’avait jamais rencontrée Mr. Kobayashi avant, mais on lui avait souvent dit de ne pas poser de questions et d’écouter les ordres qu’on lui donnait, alors… Elle se disait que ce devait être dans sa manière de procéder…

Ce que Rosie n’avait pas compris, par contre, c’était que ce que son fournisseur lui avait raconté, c’était des conneries, mais il était trop tard. La dealeuse était déjà partie vers le QG du boss à grands pas. Le fournisseur lui avait aussi dit ou elle devait aller pour lui parler. En aucune occasion, la belle aux cheveux de nuit se demanda si c’était la meilleure action à faire. Quand elle trouva le jardin entouré de murs, quand elle y entra après avoir prouvé qu’elle faisait partie de la mafia. Ses instincts qui, d’habitude, l’avertissaient de la plupart des dangers, aujourd’hui, ne lui envoyèrent aucun signal d’alerte.

Peut-être était-ce à cause de la beauté du jardin. Jamais Rosie n’avait vue autant d’arbres aux fleurs roses, ça donnait un coté fantastique à l’endroit. La maison, très traditionnelle japonaise, était très vaste. C’était comme si, une fois entrée dans le jardin, elle était soudainement transportée au japon. C’était très beau, très magnifique. Presque hypnotisant. Mais le garde qui la guidait au boss ne semblait pas aimer le fait que la jeune femme s’arrêta pour regarder les alentours. Il lui ordonna d’avancer, ce qu’elle fit sans hésiter.

Quelque chose qui vint à l’esprit de Rosemarie : Elle n’avait pas besoin de son masque, ici! Le fournisseur qui l’avait ‘’engagée’’ avait dû lui dire qu’elle avait un visage… Spécial. Alors elle l’enleva de son masque, et personne ne bougea. Personne ne la dévisageait. Personne ne fit rien. Peut-être que cet endroit n’était pas si mal, alors…

Le garde l’apporta deux grandes portes avec de l’art traditionnel japonais. Tout était si beau… Si différent de ce qu’elle voyait tous les jours. Ses yeux dorés ne pouvaient faire autre chose que de regarder avec émerveillement. Puis, un des gardes ouvrit une des deux portes, annonçant la venue de la jeune femme au grand boss qui se tenait juste là, dans cette grande pièce. Une pièce qui contenait des armes, de la drogue, de l’argent et tout le reste, mais tout étaient si bien organisés, si bien placés. Sans ça, la belle brune était en train d’oublier qu’elle allait parler au grand boss de la mafia pour laquelle elle travaillait.

Son cœur se mis à battre un peu plus vite alors qu’elle avança dans la pièce, lentement. Comme si la simple présence de cet homme lui avait fait perdre toute la confiance qu’elle avait à venir jusqu’ici.

    H-hum… Excuse me I huh…
    Spoiler:


Comment formuler ça ? Après tout ce temps à y penser et elle n’avait même pas préparé de phrase pour lui annoncer qu’elle quittait la mafia. Stupide, stupide Rosemarie.

    Mr. Kobayashi I-I came to announce my departure from your business… I…
    Spoiler:


Son cœur se mis à battre de plus en plus vite alors qu’elle cherchait ses mots. Son anxiété la traitait de conne, de stupide et d’imbécile continuellement. Elle faisait une folle d’elle devant le grand boss.

Mais c’était, très honnêtement, le moindre de ses soucis.








Takashi Kobayashi
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Takashi Kobayashi
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Date d'inscription : 27/03/2019
Takashi venait d’arriver au domaine qui faisait office de quartier général  du clan. Ce dernier venait d’être entièrement construit. En effet, suite à l’attaque rebelle qui avait eu lieu en 2049 détruisant la plupart de son QG à l’époque, le japonais avait dû changer l’emplacement vu que celui-ci était compromis. Il avait donc décidé de recréer une partie d’un domaine qu’il possédait au Japon. Il avait choisi un terrain en périphérie proche de la ville, dans un quartier calme, ce qui leur permettait de mener leurs opérations en toute discrétion.
Lorsqu’il foulait le sol de la propriété, il ne pouvait que ressentir de la fierté en voyant la beauté de l’ouvrage. Il devait bien être un des rares à avoir investi autant dans la décoration pour un bâtiment qui serait principalement rempli de criminels, d’armes illégales et de drogues.
Les derniers rayons du soleil venaient mourir dans les feuillages des arbres lorsque le japonais s’installait à son bureau commençant à remplir ses devoirs journaliers d’Uji no kami. Il avait dû passer la journée à s’occuper  du Kobayashi group à cause d’un litige avec une entreprise sous-traitante. Mais alors qu’il parcourait des yeux son écran, il entendit la porte s’ouvrir au fond de son bureau n’y ayant prêté que peu d’attention jusqu’à ce qu’une voix féminine bien qu’inconnue brisa le silence.

H-hum… Excuse me I huh…
Mr. Kobayashi I-I came to announce my departure from your business… I…

Le japonais n’avait pas pris la peine de lever les yeux sur la personne qui venait d’entrer dans son bureau mais lorsqu’il comprit ce qu’elle venait de lui dire, il dut se retenir de s’exclamer : « Nani ! ». Il se demandait qui était cette impudente qui se permettait de venir dans son bureau et de lui dire de telles sottises. Il décida de stopper ce qu’il était en train d’écrire afin de juger l’imbécile qui venait le défier sur son domaine.
Il lui fallut toute sa concentration pour ne pas laisser transparaitre sa surprise quant au physique de la jeune femme. Son visage était pourvu d’une rangée de dents monstrueuses là où aurait dû se trouver ses joues. Il prit son temps pour l’examiner oubliant totalement de répondre à celle-ci et la laissant attendre dans le silence. Finalement intrigué par sa difformité, le japonais décida d’écouter ce qu’elle avait à lui dire. Il imaginait déjà plusieurs utilités à celle-ci.

I didn’t catch your Name. Could you introduce yourself before asking me what U are expecting from me.

Takashi ne put se retenir de sourire. Ce dernier pouvait être facilement pris pour de la gentillesse mais le chef de clan jubilait en réalité. Il avait remarqué la tension et le stress qui habitaient entièrement l’inconnue. Il aimait à savoir que sa présence puisse incommoder autant une personne. Et la brune avait commis l’erreur de lui manquer de respect, il n’avait donc aucune intention de lui faciliter la situation.

And u can start calling me Kobayashi-Sama... as it should be.

En effet, ici, en tant qu’Uji no kami, chaque membre du clan lui devait le respect et se devait de l’appeler par son nom suivi de sama. Takashi était l’autorité la plus haute de sa famille et du clan. Chaque Uji no kami se devait de se faire appeler sama, il en était ainsi depuis la création de leur clan. Avant la mort de son père, ce dernier était le sama et Takashi se faisait appeler –san comme chacun de ses frères.

Now explain yourself about the reason that brought you here today.

La politesse aurait voulu qu’il invite sa subalterne à s’asseoir en face de lui mais il n’en fit rien. Il se cala au fond de son fauteuil, ses iris marron rivés sur les yeux de l’inconnue. Il souhaitait d’abord en apprendre davantage sur celle-ci avant d’adapter son attitude à une autre plus appropriée pour son cas. Pour le moment, la froideur était le maitre mot de chacun de ses gestes et expressions.






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Le Japonais leva la tête et regarda Rosemarie, mais ne dit rien, laissant la voix de la belle résonner dans sa propre tête. Les secondes passaient, mais il ne disait rien. Est-ce que… Est-ce qu’elle l’avait dérangée ? Elle était quand même arrivée sans aucun avertissement…

Finalement la voix de son boss retentit dans la salle, ce qui fit sursauter Rosie. La nervosité pouvait se lire dans son langage corporel, dans ses yeux dorés, dans sa voix. C’est comme si elle venait de prendre conscience qu’elle était devant un grand criminel et qu’il pouvait lui faire ce qu’il voulait, sans aucune peur de représailles. Son nom ?! Ah oui, elle ne lui avait pas dit, c’est bien vrai.

    Well my n--
    Spoiler:


Elle fut coupée par Takashi qui lui indiqua comment s’adresser à lui de la bonne manière. Oui, bien sûr, ça avait du sens de l’appeler Kobayashi-sama. La dealeuse faisait partie de la mafia japonaise, elle devait s’attendre à utiliser les termes japonais et tout ça. Toutefois, elle espérait qu’elle n’aurait pas à apprendre la langue de son pays natal… Elle ne savait pas grand chose du japonais.

Nerveuse, anxieuse devant le regard du patron, la belle aux cheveux de nuit tassa une mèche de cheveux qui s’était retrouvée devant son visage avant de nerveusement jouer avec ses propres doigts. Maintenant il voulait savoir ce qu’elle voulait et spécifiquement ? Rosie pris une grande respiration.

    Yes, excuse me, Kobayashi-sama… I’m.. My name is Rosemarie. I have been working for you for the past… Year and a half and…
    Spoiler:


La jeune femme pris une petite pause, repensant à sa situation actuelle. Si elle voulait que ça change, elle devait partir…. Même si ça la mettait à la rue pendant quelques jours. Rosemarie détestait l’idée de devoir retourner vivre dans la rue, mais si c’était ce que ça prenait… Peut-être qu’elle pouvait demander à Adé ou Fio… Non, non elle ne pouvait pas. C’était être un parasite pour elles. Elle se sentirait bien trop mal.

    I-I would like to announce my departure. I… I can’t continue to live like this it’s… It’s too much.
    Spoiler:


Rosie repensait à ses conversations avec Fiona, avec Adélaïde. Ce qu’elle avait décidé de faire pour aller vivre honnêtement. Même si elle savait que le monde extérieur la détestait. Les seuls qui l’avaient acceptés, c’était les Yakuzas pour qui elle travaillait. Elle n’avait nul part ou aller et elle le savait bien. C’était comme se jeter dans la gueule du loup, mais… Elle n’avait pas d’autre choix.

    Jacob told me that I-I had to tell you that I was leaving so I… I-I’m sorry if I disturbed you, Kobayashi-sama.
    Spoiler:


Son but n’était pas de donner des problèmes à son fournisseur, puisque la belle brune ne pensait pas que ce qu’elle avait fait était mauvais. Elle était trop naïve pour son propre bien.








Takashi Kobayashi
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Takashi Kobayashi
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In the Dragon'den
feat. Rosemarie

Le japonais avait remarqué les tics de la jeune femme qui trahissaient son stress. Il savait qu’il l’intimidait et nota cette information dans un coin de sa tête, c’était un avantage qu’il ne devait pas perdre.
Il ne la coupa pas et attendit en silence qu’elle eut fini de s'exprimer malgré les  pauses qu’elle prenait.  Elle évoqua un certain Jacob mais ce prénom ne lui évoquait rien, elle devait sûrement référer à son supérieur. Mais en fin de compte, peu importe son poste, il ne lui était d’aucune importance et l’oublia aussitôt. Quoiqu’il puisse permettre à ce dernier de se renseigner sur elle, il souhaitait donc le convoquer. Il se demanda quelques secondes quelles pouvaient être les relations entre Rosemarie et ce Jacob. Si ce dernier l’avait envoyé ici intentionnellement, il ne devait pas beaucoup apprécier cette dernière. Car la dentition unique de la dealeuse l’avait sûrement sauvé d’une triste situation mais l'inconnu ne pouvait pas savoir que Takashi allait leur trouver un intérêt.


By the way, who is that jacob ? Do you know his full name ? Or could you tell me what does he do ?  



Le jeune uji no kami examinait la brune, toujours intrigué par la monstrueuse déformation de son visage. Il n’en avait pas peur car la jeune femme ne se mettait pas en position d’intimidation. Comment pourrait-il avoir peur d’elle alors qu’elle tremblait du simple fait de se tenir dans la même pièce que lui. Mais malgré cette faiblesse, il pouvait la former et l’utiliser comme arme de dissuasion. Il était certain qu’elle pouvait faire forte impression lors de ses rendez-vous avec ses partenaires.


Well Rosemarie. I understand your concern and I understand that sometimes, our way of life can be pretty hard to bear. But tell me, u wish to leave but did u really think about it ? Have u thought about your next job ? Where do u live right now ? And it’s too much, what do u mean exactly by that. U said u have been working for me for over a year now so U have been able to live your life thanks to me, I think I deserve to know the reason that pushes u away. Why would U fail our clan ?  



Takashi espérait ne pas avoir effrayé la jeune femme par tant de questions mais elle représentait un atout qu’il pouvait utiliser. Et il comptait bien sur le fait de l’utiliser. Elle semblait fragile, et il souhaitait en apprendre davantage sur les motivations de la jeune femme. S’il souhaitait l’employer pour ses desseins, le japonais avait besoin de connaitre cette dernière du moins il devait en apprendre assez pour savoir quelle carotte agiter et avec quel bâton la menacer.

(c) Never-Utopia






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Toujours très nerveuse, en présence du boss des Yakuzas, Rosie jouait avec une mèche de ses cheveux noirs qu’elle tournait autour de son index. Il semblait l’écouter avec attention, plantant ses yeux dans les siens, si celle-ci était capable de le regarder dans les yeux. Rosemarie avait toujours eu de la difficulté à faire ça et là, en plus, c’était le patron criminel des Yakuzas… C’était un peu plus imposant qu’un étranger.

Puis, sa voix résonna dans la pièce, lui demandant qui était ce Jacob. L’incompréhension pu se lire sur le visage de la belle brune qui, confuse, pensait que celui-ci l’avait envoyé parce qu’il connaissait le boss. Puis, avant que la jeune femme puisse lui répondre, il se mit à la bombarder de questions. Chacune d’elle tourna dans sa tête, se répétant constamment. Lorsqu’il eut fini, Rosemarie prit quelques secondes pour tout remettre en place dans son esprit. Il y avait beaucoup de choses qu’il voulait savoir… Mais c’était probablement son travail, en tant que patron.

    Jacob is my… Drug provider. He’s the one that huh… Gave me this job.
    Spoiler:


La dealeuse regarda sur le coté pendant que les paroles de son patron repassaient dans sa tête. Est-ce qu’elle y avait vraiment pensé ? Oui, elle y avait pensé, mais… En fait elle croyait y avoir assez pensé, mais le fait qu’une question si simple de sa part l’ébranle autant prouvait peut-être le contraire.

    I mean I thought I’d thought about it but… I… I-I don’t know what my next job would be I haven’t… Thought that far I’m…
    Spoiler:


Et plus elle parlait, plus la jeune femme se rendait compte à quel point son plan était merdique et qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle allait faire. Cette réalisation lui donna un effet de vertige et Rosie posa une main sur sa tête, essayant de penser. Son cœur battait fort. Est-ce qu’il l’avait affecté autant que ça avec de simples questions ?

Il avait le droit de savoir ses motivations pour pouvoir partir c’est vrai, mais elle avait peur de fondre en larmes devant lui. Ce n’était pas ce qu’elle était venue faire, mais si elle se mettait à faire ça… Rose n’avait aucune idée de comment il allait réagir. Une pensée rapide pour son appartement de merde lui passa dans la tête.

    Yes, thanks to you, Kobayashi-Sama, I’ve had a roof on my head, but… But i…
    Spoiler:


Des larmes commencèrent à couler sur ses joues, malgré elle. Elle mordit sa lèvre inférieure, se maudissant d’être aussi faible et de se mettre à pleurer autant.

    This building is so… It’s barely a livable place! I-I feel like I’m gonna get attacked or raped everytime I get out of my apartment!! And I barely make enough money to buy food for myself I…. I CAN’T take it anymore!!!
    Spoiler:


La voix de la belle brune s’était élevée assez forte sous l’effet de l’émotion. Étranglée par sa gorge serrée et ponctuée de sanglots, ses joues rougissant, son cœur battant fort… Jusqu’à ce qu’elle réalise ce qu’elle venait de faire. Crier après le grand boss des Yakuzas.

Ses jambes devinrent molles et la jeune femme s’effondra par terre, sur ses genoux. Mettant ses deux mains sur sa bouche, les larmes continuant de couler, maintenant elle avait peur. Peur pour sa vie. Elle qui avait si souvent eu des pensées suicidaires, elle se rendait compte à quel point elle avait peur de la mort, maintenant qu’elle était probablement beaucoup plus proche qu’elle ne l’avait réalisé avant.

    I… I-I’m really sorry… Kobayashi-sama… I… I didn’t want to scream I’m…. Terribly sorry…
    Spoiler:


Toutefois, s’il voulait avoir ses motivations, il les avait eu de son cœur et du plus profond qu’elle pouvait aller les chercher. Est-ce que ça allait lui couter la vie ? Est-ce qu’elle venait de faire la plus grande erreur de sa vie ? Tremblant, à genoux, les larmes coulant à flot sur ses joues, Rosemarie priait à quiconque vivant là-haut qu’il ne se fâche pas contre elle. Qu’il ne l’envoie pas vivre quelque part de plus insalubre encore… Quoi que c’était presque impossible.








Takashi Kobayashi
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Takashi Kobayashi
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In the Dragon'den
feat. Rosemarie

Jacob is my… Drug provider. He’s the one that huh… Gave me this job.
Alors que la jeune femme lui donnait le nom de Jacob, Takashi saisit son ordinateur et pianota sur son clavier. Il venait d’envoyer un message à un de ses proches conseillers lui demandant  de lui trouver un de leur fournisseur nommé Jacob. Le japonais ajouta l’instruction qu’il devait informer ce Jacob qu’il était attendu le plus tôt possible dans son bureau. Il ferma son navigateur après l’envoi du message, il ne s’attendait pas à une réponse avant plusieurs heures au moins et il put reporter son attention sur la dealeuse.

I mean I thought I’d thought about it but… I… I-I don’t know what my next job would be I haven’t… Thought that far I’m…
Yes, thanks to you, Kobayashi-Sama, I’ve had a roof on my head, but… But i…
This building is so… It’s barely a livable place! I-I feel like I’m gonna get attacked or raped everytime I get out of my apartment!! And I barely make enough money to buy food for myself I…. I CAN’T take it anymore!!!
I… I-I’m really sorry… Kobayashi-sama… I… I didn’t want to scream I’m…. Terribly sorry…

Le japonais venait d’assister à l’effondrement de la brune, littéralement. Elle gisait sur le sol à genoux. Il ne se vexa pas lorsqu’elle haussa la voix, il aurait pu la punir pour son manque de respect mais l’état pathétique dans lequel elle se trouvait était bien suffisant à son goût. Elle n’était que faiblesse, incapable semble-t-il de se battre pour elle-même. Elle semblait piégée dans ses ténèbres les plus profonds, ce qui arrangeait bien le mafieux. Elle n’était qu’une arme posée sur le sol, il n’avait qu’à se baisser pour la ramasser et l’utiliser comme bon lui semblait.
Il se leva et s’approcha d’elle, il lui tendit la main afin que celle-ci puisse s’aider pour se relever. Lorsqu’elle fut de nouveau sur ses pieds, le japonais reprit la parole.



I understand, well follow me. Dry your tears and compose yourself, we don’t want to let the others see you like that. And I have something to show you.  


Il s’éloigna laissant la brune le temps de se préparer à sortir de son bureau. Il enfila son manteau et rangea son arme dans l’holster accroché dans le bas de son dos. C’était une habitude qu’il avait prise de ne jamais laisser son arme dans son bureau ou à son appartement. Lorsqu’elle fut aussi prête, il la guida jusqu’au garage du bâtiment où il l’invita à monter dans une voiture noire, celle-ci laissait transparaitre le luxe auquel était habitué le japonais avec ses sièges en cuir et les accessoires qui n’équipaient que les voitures les plus chères. Il programma la destination de la voiture qui se trouvait dans le West shore sans donner aucune information à sa passagère. La voiture était conçue pour qu’ils puissent s’asseoir l’un en face de l’autre, Takashi étant dans le sens de marche de la voiture.

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Le voilà qu’il se levait. Il se levait pour se diriger vers elle, sans aucun commentaire. La jeune femme savait qu’elle n’aurait pas dût crier, mais… Elle n’avait pu s’empêcher. La frustration de vivre dans un bâtiment comme celui dans lequel elle était, s’était accumulée depuis qu’elle était là et… Ça avait explosé. Toutes les fois ou elle avait entendu des gens se faire battre, ou engager des prostituées, ou juste faire du bruit en général quand ils étaient dopés à mort, c’était… beaucoup trop. Rosemarie avait tout dit ce qu’elle avait sur le cœur, mais peut-être qu’elle aurait mieux fait d’aller se plaindre à quelqu’un d’autre.

Mais il lui tendit la main. Une main qu’elle ne s’attendait pas à avoir, surtout pas du boss d’une organisation criminelle. La jeune femme passa quelques secondes à fixer la main du japonais, puis accepta l’aide de ce dernier en prenant sa main, qui l’aida à se remonter. La confusion se faisait lire dans les yeux de la belle brune qui ne comprenait rien de ce qui se passait. En plus de ça, il lui dit qu’il… Il comprenait ? Il la comprenait ? Vraiment ? Une vague de bonheur et de soulagement lui traversa le corps. Ses jambes faillirent lui lâcher, encore une fois, mais la jeune femme écouta ce que son patron avait à lui dire. Il voulait qu’elle vienne avec elle ? Qu’il avait quelque chose à lui montrer ?

Hochant la tête, Rosie essuya ses larmes, prenant des grandes respirations pour se calmer. Takashi attendait patiemment qu’elle se calme, mais elle ne devait pas trop le faire attendre, quand même. Puis, une fois prête, la jeune femme suivit son patron jusqu’à un garage. Un garage avec beaucoup de voitures qui avaient l’air de couter un bras et une jambe. Le japonais l’invita à entrer dans une des voitures et, sans se méfier de rien, Rosie monta à l’intérieur, s’asseyant sur les bancs en cuir qui sentaient très bons. Une fois assise, la jeune femme regardait l’intérieur de la voiture, bouche-bée, impressionnée par le fait que ce ne soit qu’une seule de ses voitures. Il devait en avoir d’autres encore plus dispendieuses que celle-là…

Et la voiture se mis à bouger, avec son boss qui s’assit devant elle. Rosemarie jouait nerveusement avec ses doigts, ne sachant pas trop quoi dire. Le silence semblait un peu étouffant, mais ce n’était peut-être qu’elle qui ressentait ça. Prenant son courage à deux mains, la belle brune posa son regard dans celui de Takashi.

    Hum… Kobayashi-sama? Can I…. Can I ask where we’re going ?
    Spoiler:


Le simple fait de poser cette question lui semblait être un jet de dé pour savoir comment il allait lui répondre, mais son patron s’était montré très ouvert et compréhensif, jusqu’ici et elle n’avait pas posé d’autres questions, sauf celle-là, alors… Elle verrait ce qu’il allait lui répondre. Il fallait dire que Rosie était très curieuse de savoir ou ils allaient aboutir. Les yeux dorés de la belle fixaient regardaient dehors, regardant les bâtiments passer devant son regard.

Le japonais avait déjà un bon contrôle sur elle. Elle lui faisait complètement confiance. Il était beaucoup plus gentil que ce qu’elle avait pensé, qu’elle se disait. Beaucoup plus de compassion qu’elle ne l’aurait imaginé.








Takashi Kobayashi
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Takashi Kobayashi
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In the Dragon'den
feat. Rosemarie

Le voyage se déroulait calmement dans le silence ce qui ne dérangeait pas le moins du monde le japonais. Il regardait les bâtiments défiler devant ses yeux alors que la voiture les conduisait à leur destination. Mais il fut dérangé et tiré de ses pensées par la voix de Rosemarie.

Hum… Kobayashi-sama? Can I…. Can I ask where we’re going ?

Il posa lentement son regard sur elle inspectant une nouvelle fois son bien et jugeant de son potentiel et de l’investissement maximal qu’il serait prêt à apporter. Au vu de la rareté de sa mutation, le japonais serait prêt à sacrifier quelques milliers de dollars et un peu de son temps pour la garder en son pouvoir et s’assurer de sa loyauté.


Tu peux me le demander en effet mais je ne vais pas te répondre… pas pour le moment du moins. Fais-moi confiance, tout prendra sens en temps voulu.



Et juste ainsi, le chef du clan Kobayashi retourna à son silence pour le reste du voyage qui ne dura qu’une dizaine de minutes, le trafic étant faible à cette heure de la soirée. La voiture émit un bip et s’arrêta devant un bâtiment moderne en périphérie d’un quartier résidentiel du West Shore. L’immeuble avait été construit il y a quelques années mais le Kobayashi group venait d’en devenir le propriétaire seulement récemment. Il invita la jeune femme à le suivre alors qu’il entrait dans la bâtisse et qu’ils montèrent dans l’ascenseur avec pour objectif le 4ème étage. Il sortit une carte magnétique temporaire et déverrouilla la porte d’un des appartements.



Allume les lumières et ouvre les volets.   



L’intelligence qui gérait les commandes vocales obéit et dans la seconde révéla la pièce. L’appartement était déjà équipé et meublé, Takashi l’avait préparé pour l’offrir à un de ses conseillers. Mais il avait à présent d’autres plans pour le bien. Quant à son conseiller, il n’aurait aucun problème à lui trouver un autre cadeau et il ne doutait pas qu’il puisse même en trouver un meilleur que cet appartement. Ce dernier restait propre et moderne mais il ne faisait qu’une quarantaine de m².
La pièce dans laquelle il venait d’entrer était composée d’un salon et d’une cuisine ouverte. Sur la gauche, on pouvait apercevoir une porte qui menait sûrement vers la chambre mais l’obscurité régnait derrière l’encadrement. Quant à la droite du japonais se trouvait une grande baie vitrée qu’il ouvrit afin d’atteindre le balcon qui offrait une vue sur la ville de New-Heaven.



Rejoins-moi.
Il attendit que la jeune femme l’ait rejoint et qu’elle ait eu le temps d’admirer la demeure dans laquelle elle se trouvait. Qu’en penses-tu ?   


Il jeta un autre coup d’œil à la pièce qu’il venait de quitter, son regard balayant le canapé et les autres meubles disposés. Il n’avait commandé que le strict minimum mais de ce qu’il avait compris, ce « strict minimum » était déjà une amélioration nette du train de vie de la brune.


(c) Never-Utopia






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Rosemarie avait rapidement compris, après sa question, qu’elle devait être patiente et ne pas déranger inutilement Takashi. Rosie ne dit plus un mot du voyage, regardant dehors, les lumières qui passaient devant ses yeux dorés. Même si le voyage ne dura qu’une dizaine de minutes, pour la belle brune, ça lui parut au moins deux fois plus long. Ne sachant pas quand la voiture allait s’arrêter, ni ou ils allaient, des milliers de questions se posaient dans sa tête, mais la jeune femme se retint de les faire passer la barrière de ses lèvres. Elle ne voulait surtout pas manquer de respect envers son patron. Pas plus qu’elle ne l’avait déjà fait, aujourd’hui, en lui criant après.

Silencieusement, la mutée suivit son boss, dans un building qui, pour elle, lui semblait plutôt moderne. Les yeux dorés fixant les fenêtres, tandis qu’elle avançait, Rosemarie ne comprenait pas ce qu’ils faisaient ici. Mais elle fut patiente et lui fit confiance, comme il lui avait demandé. Elle entra avec lui dans l’ascenseur, jusqu’au 4e étage, puis, Takashi ouvrit une des portes et Rosemarie le suivit de près. Le Japonais ouvrit les lumières et les volets avec une commande vocale. Ça ressemblait à un bel appartement, en tout cas…

Rosie marcha dans l’appartement, regardant les murs avec de la belle peinture blanche, un beau canapé, des meubles qui n’étaient pas en train de pourrir, une télévision moderne, même des plantes sur des petits meubles. Sur la gauche du canapé, une grande fenêtre donnant une belle vue sur la ville. Une autre porte menait à un balcon… Les yeux dorés de la belle regardaient chaque élément, repensant à son appartement à elle et à quel point celui-ci était supérieur. Tout semblait si beau, si neuf, si parfait… La cuisine était très propre et semblait contenir beaucoup de vaisselle et autres trucs pour cuisiner, la table à manger était assez grande pour une famille de quatre personnes.

Rosie remonta la petite marche qui séparait le salon et la cuisine, retournant aux cotés de Kobayashi-Sama. Jouant nerveusement avec ses mains, son regard toujours fixé sur les murs, admirant à quel point la peinture était sans défaut.

    It’s…. Very nice.
    Spoiler:


Son regard doré revint sur les yeux de son boss. La belle brune ne comprenait toujours pas pourquoi ils étaient ici.

    Is this… Your home ?
    Spoiler:


Rosemarie pris conscience de l’idiotie de ses mots en même temps qu’ils sortaient de ses lèvres. Bien sûr que non, ce n’était pas chez lui, espèce de conne. Même si, pour elle, c’était presque du luxe, cet appartement, pour le patron d’une organisation criminelle riche comme la mafia japonaise, ce devait être presque rien…

    I-I mean… Once of your homes ?
    Spoiler:

Arrête de parler. Arrête. De parler, Rosemarie. Tu ne fais que t’enfoncer de plus en plus. Tu viens surement de l’insulter, lui qui te montre tant de compassion, même après lui avoir crié dessus. Tu es stupide, stupide, stupide stupide stupide complètement conne.

Tu mérites d’être jetée à la rue.







Takashi Kobayashi
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Takashi Kobayashi
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In the Dragon'den
feat. Rosemarie

It’s…. Very nice.
Is this… Your home ?



Le japonais allait répondre à la jeune femme mais il put voir à son visage qu’elle regrettait sa phrase et ceci se confirmait puisqu’elle se reprit.


I-I mean… Once of your homes ?

Well not really. It belongs to my company but I do not live there. Actually, it was supposed to be rent but I suppose I could let the people working for me renting it at a lower price. You could still be a dealer if you want in your free time. But I would like you to be my bodyguard at some meeting. And I could need your help some other time but you will mostly just have to be my bodyguard. And you could live there, in this apartment… as long as you work for me.


Et bien pas vraiment. Il appartient à mon entreprise mais je ne vis pas ici. A vrai dire, il devait être loué mais je suppose que je pourrais laisser des personnes qui travaillent à mon compte les louer à un tarif réduit. Tu pourrais continuer tes activités de dealer si tu le veux dans ton temps libre. Mais j’aimerai que tu sois principalement mon garde du corps à certaines occasions. Et je pourrais avoir besoin de toi à d’autres occasions mais tu auras principalement pour tâche d’agir comme garde du corps. Alors, tu pourrais vivre ici, dans cet appartement… aussi longtemps que tu travailleras pour moi.




Sur ces mots, il retourna dans le salon et s’installa sur le canapé comme s’il était chez lui. Enfin il était chez lui. Mais l’esprit du japonais était préoccupé. Il souhaitait demander à la jeune femme les limites et les possibilités de son pouvoir mais avec le peu d’estime qu’elle semblait avoir, il avait peur de la froisser. Non pas qu’il ne s’intéresse à ses sentiments, cela lui importait bien peu. Mais il l’avait déjà vu se ridiculiser une fois en tombant en pleurs, il n’avait pas besoin de le voir une seconde fois et surtout cela pourrait la pousser à refuser son offre. Il enchaina alors ne laissant pas le temps de répondre à la jeune femme.



But before you accept my proposal, i need to know more about your... Abilities. Do you know how to fight? Use a gun? And your power?
Il fait un signe en désignant la mâchoire
I’m sorry if this bother you to talk about it. But I need to know what are capable of the people that are working closely with me.


Mais avant que tu acceptes ma proposition, j’ai besoin d’en savoir plus sur tes compétences. Est-ce que tu sais te battre ? Utiliser une arme à feu ? Et ton pouvoir ?
Je suis désolé si en parler te dérange. Mais j’ai besoin de savoir ce dont quoi sont capables les personnes qui travaillent étroitement avec moi.

  



Il n’était absolument pas désolé et il ne comptait absolument pas travailler étroitement avec elle, elle n’était qu’une personne. Bien qu’elle soit unique, son apparence ne la rendait cependant pas irremplaçable. Et cela pouvait peut-être se sentir car malgré la douceur de ses mots, son visage restait très fermé et froid. Si ses paroles incitaient une sorte de rapprochement, son expression rappelait la distance qui séparait la jeune femme du japonais.


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In the dragon's den - Takashi Kobayashi
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