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Diya Messaoudi | Terminé

Diya Messaoudi
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Diya Messaoudi
Messages : 29
Date d'inscription : 16/03/2019
-  Sujet: Diya Messaoudi | Terminé   •  Lun 18 Mar - 1:38
Douru - Sandflakes
DIYA MESSAOUDI
Nom : Messaoudi.
Prénom : Diya.
Age : 16 ans.
Groupe : Heroes
Situation maritale : Célibataire.
Métier : Etudiant, apprenti super-héros.
Nom de super : Blue Beast.
Objectif(s) :
Diya a l’héroïsme dans le sang, il le sait. Ainsi, il a pour ferme intention d’aider les autres grâce à son pouvoir. Cependant, il a aussi pour objectif que de forger sa propre réputation et sortir de l’ombre de sa mère. Il sera un Héros pour lui, de son propre labeur, et reconnu pour cela.
Particularités :  
Une peau bleue et des attributs bestiaux qui le caractérisent, pattes de félin, des crocs, des oreilles pointues et des yeux orangés. Sinon, sous forme humaine, ses cheveux clairs pour une peau bronzée.
__________________________
Anecdotes

☾ N’a jamais connu son père, ou même son identité, et n’a pas la sensation d’en avoir souffert ☾ Mange très épicé, c'est la seule façon pour lui que de sentir quelque chose malgré son sens du gout défaillant ☾ N'aime pas être considéré comme un animal ☾ Nocturne, a souvent des coups de fatigue en pleine journée ☾ Il est particulièrement souple ☾ Ronronne quand il se sent confortable, mais aussi, pour apaiser la douleur en cas de blessure ☾ Doit se limer régulièrement les griffes ☾ Ne supporte pas que l'on touche à sa queue, même si elle a l'air "rigolote" ☾ Est sujet à l'anxiété ☾ Quelques rares amis le surnomment BB (bibi)
Psychologie & Physique

Le garçon n’a rien à dire ou, tout du moins, il se comporte comme si tel était le cas. Diya n’est pas de ceux qui s’avancent pour orienter les projecteurs vers leur propre personne. Discret, sans pour autant paraitre introverti, on le considérera plutôt comme modeste, ou bien alors de façon plus précise, pudique. L’adolescent ne s’épanche point en excès de paroles pour venir à l’essentiel. Efficace, c’est ce pour quoi il travaille si dur. Diya est capable de passer des nuits entières à étudier, des journées interminables pour perfectionner ses compétences. Il n’a pas peur de l’effort, jamais, et son abnégation l’entraine bien souvent à dépasser ses capacités physiques et morales. Elles ne sont pas rares, les cernes, à se creuser sous ses prunelles chocolat, quand bien même on les oublierait à cause de ses pommettes hautes et de ses joues rondes. De bien des manières, Diya possède encore les traits de l’enfance tandis que, d’un autre côté, il se trouve dans un âge où l’adolescent cherche à être pris au sérieux.

Grandir aux côtés de la popularité d’un proche n’est pas chose aisée. Notamment lorsque l’on partage certaines particularités physiques très visibles de ce dernier. On sort du lot quand on ne le veut point, on ne se démarque pas assez pour ce que l’on voudrait et, au final, Diya demeure relativement seul. Difficile, pour lui, de savoir si on l’approche avec sympathie pour le rayonnement de sa mère, ou bien, pour l’appréciation sincère de sa propre personne. A force, le garçon est devenu méfiant, adolescent à l’amitié difficile. Cependant, si les étapes s’achèvent progressivement les unes après les autres, le jeune Messaoudi se découvre fidèle compagnon d’aventure comme d’infortune. L’instinct protecteur, plus tendre que prévu, Diya a de l’affection et des sentiments à partager et ce, malgré son manque d’expressivité. Il n’est pas de ceux qui sourient à toutes dents, rient à gorge déployée, explosent de colère. Plus intimiste en matière d’émotions, quand l’attachement qu’il ressent vis-à-vis d’un tiers parait minime, peu démonstratif, celui-ci n’est pas moins présent. A intérioriser de cette manière ce qu’il éprouve, c’est calme et réfléchi que le garçon se présente la majorité du temps. En cela, on pourrait le considérer comme détenteur d’une maturité avertie pour son âge. Ainsi, il n’est pas rare qu’on le laisse gérer seul les difficultés qu’il peut rencontrer, de toute façon, Diya ne demande pas d’aide, estimé et s’estimant capable de se contrôler décemment.

Pourtant, il ne faut pas prendre la patience de l’adolescent pour de l’indifférence apathique, au contraire. S’il laisse passer bien des choses, la rancune du fils d’Aquaria demeure tenace. Diya n’oublie pas, et un feu ardent de passion déchire sa chair, bien caché sous l’épiderme de caramel bruni, n’attendant que la première fissure dans ce mur contenant toute cette frustration accumulée par le temps. Le plus souvent, celle-ci éclate en privé, pour peu qu’elle le soulage. Néanmoins, il arrive aussi qu’il réponde à la provocation de manière directe, tombant dans la brutalité bête d’une confrontation physique. Si on pense que ne pas céder au combat est une faiblesse, le fait de se réfréner pour éviter que son côté sauvage ressurgisse est une guerre de tous les instants. Diya surnomme cette partie de lui La Bête puisqu’il ne lui trouve rien de bien humain. Loin de son aspect – qu’il affiche quotidiennement contre sa volonté –  de créature bleue aux pattes félines, la longue queue, les oreilles étirées, de crocs qui poussent et de prunelles oranges affinées, sa monstruosité possède une tournure plus profonde. Lui qui pensait que son don n’affectait que son apparence ainsi que certains de ces sens, son altération psychologique aura été plus furtive.
C’est un état qui ne survient que lorsque le danger taquine son instinct, que la peur ou la colère sont trop fortes, ou bien, plus récemment, quand ses sens sont beaucoup trop titillés par l’odeur du sang ou de chair fraiche. Il croyait que le fait que le parfum du poisson ou de viande l’attirait comme un effet secondaire stupide de sa transformation, cependant avec le temps, force a été de constater que cela ne se limitait pas à la nourriture. Ses pensées s’embrouillent, les gestes plus brutes – tremblants de se contenir – et Diya se sent sur le point d’attaquer toute personne sans en connaitre la raison, ni savoir s’il pourra s’arrêter raisonnablement. Et, tout comme l’adolescent peine de plus en plus à rester maître de lui-même ( et à cacher ce trouble persistant ), il a de plus en plus de mal à maintenir sa forme humaine. A terme, il craint de ne plus être capable de la préserver et tout ceci est une source de plus à ajouter à l’anxiété qui le ronge déjà couramment. Alors, pour assurer la sérénité de son esprit, le garçon s’est mis à la méditation de façon régulière. C’est quelque chose qui peut surprendre pour quelqu’un de son âge que l’on imaginerait rester en place, en particulier pour un aspirant Super. Bien heureusement, le Messaoudi a toujours apprécié le calme. De nature contemplative, la réflexion ainsi que l’observation l’apaisent et c’est probablement pour ces raisons qu’il aura trouvé un certain goût pour la photographie bien qu’il ne s’agisse pas là d’un hobby très présent dans sa vie.

C’est la cuisine, avec laquelle il se sent à l’aise – ce qui est plutôt ironique concernant son palais défaillant –. Souvent seul, depuis longtemps laissé à se gérer par lui-même, indépendant, Diya s’y sera mis par nécessité en premier lieu, puis par plaisir. A présent, le garçon est capable d’affirmer, sans trop de risques, qu’il est meilleur cuisinier que sa propre mère. Influencé par la culture de cette dernière, il n’est pas surprenant de trouver parmi ce qu’il sait faire le mieux certains plats et pâtisseries arabes et méditerranéens. D’un autre côté, le thé – chaud comme froid –  est assurément la boisson qu’il préfère, sans trop être gêné d’avoir des gouts de « vieux ». Non, ce qui l’embête et l’embarrasse au point de garder son opinion secrète, c’est ce qui concerne les vêtements. D’ordinaire, Diya n’est pas quelqu’un sur qui on se retourne. Sans look particulier, outre sa sèche tignasse claire et hirsute qui peut surprendre, fin charme kabyle. Pauvre en couleurs qui sortiraient du gris, du noir, ou du bleu très foncé, lorsqu’il n’est pas sous sa forme de créature, le garçon pourrait passer inaperçu au milieu d’une foule. Seulement voilà, son intérêt se porte vers les atours considérés comme féminin. Déjà qu’il se sait peu impressionnant physiquement ; il culmine à un pauvre mètre cinquante-neuf et heureusement un peu plus quand il est transformé ; l’adolescent sait que ce serait un sujet sensible à faire accepter, autant pour lui-même que pour sa mère. Cette dernière l’aura bien surpris, un jour, en entrant dans sa chambre sans frapper, mais ils n’en n’auront jamais parlé par la suite, comme la poussière que l’on balaye sous le tapis et que l’on préfère oublier. Plus que d’être gênant, Diya craint trop de décevoir Aquaria et de lui donner mauvaise réputation, ainsi, le garçon préfère préserver un comportement et une tenue irréprochable.

C’est ce qu’on attend de lui de toute manière.
Histoire
Diya observait silencieusement de par le reflet de l’enseigne, pour ne pas regarder directement l’objet.  Une peau bleue. Des cheveux blancs. Bras tendus et ce voile, sombre comme la nuit, couvrant ses épaules et sa tête. Une figurine d’Aquaria, comme il y en avait tant. Dans les magasins de jouets, des cartes à collectionner, des posters et même des comics. Goodies de fan. Le garçon plissa les yeux derrière ses lunettes de soleil, les mains dans les poches de son blouson. Il crut un instant que son regard avait croisé celui de l’enfant et il détourna la tête. Néanmoins, le bruit de ces petits pas qui accouraient vers lui ne lui échappait pas.
« Elles sont cool tes pattes ! »
Si tu le dis. Diya inspira profondément et regarda le jeune garçon en souriant doucement. « Eh, merci. Cool ta poupée. » Des étoiles dans les yeux du cadet qui montrait fièrement la chose désignée.
« Aquaria, c’est mon héroïne préférée ! C’est marrant, t’es tout bleu, comme elle. » Le sourire se pinça irrémédiablement. Forcément. La remarque était facile, quand bien même sa mutation était d’une différence perceptible. « Merci. » Mais il voulait détourner le sujet ainsi, Diya replia légèrement ses pattes pour se mettre à hauteur de son jeune vis-à-vis, sa queue balayant lentement le sol. « Tu sais, un jour, j’aurai une figurine comme ça aussi. » Les yeux qui s’écarquillèrent de l’autre le faisaient sourire. « Sérieux ? Trop coooool. T’es un apprenti Super ? C’est quoi ton nom ? » et lui répondit en se redressant.
« Blue Beast »

☾☾☾


On pourrait se dire qu’il se raccrochait trop à sa mère, qu’il s’inquiétait trop pour elle mais, du côté de Diya, l’impression prédominante est qu’il ne pouvait simplement pas lui échapper où qu’il aille, quoi qu’il fasse. Entre son image publique déclinée de toutes les façons tout au long de la ville et le fait que la femme essayait, autant que possible, de se rapprocher de son fils, c’était embarrassant aux yeux de ce dernier. Quitte à l’éviter, il rentrait à la maison pour filer dans sa chambre, prendre un repas rapide, une nuit courte de repos, et mieux retourner s’entrainer et étudier par la suite. De beaucoup diraient qu’il s’agissait d’un comportement classique pour un jeune de son âge et, dans un sens, ils auraient raison. Asma, sa mère, le prenait encore pour un enfant et cela lui tapait sur les nerfs. Diya avait grandi, même si elle n’avait pas été là pour le voir.

Parce que la présence maternelle n’était pas chose abondante dans ses plus jeunes années. Souvent gardé par sa tante, Khadija, pendant qu’Asma commençait à sauver le monde. Dans l’ordre des priorités pragmatiques, s’occuper de son enfant passait après et c’est quelque chose d’absolument compréhensible.
On lui racontait que sa mère faisait des choses importantes, qu’elle aidait les gens. Petit à petit, on entendait parler d’elle à la télévision, dans les magazines. On ne pouvait pas lui en vouloir mais, c’est difficile à saisir pour un enfant qui voulait juste voir sa maman un peu plus souvent.

Rapidement, Diya se fit indépendant. Il savait qu’il devrait s’occuper de lui-même, très vite. Il cessa même d’attendre sa mère aux évènements de son école, quand bien même elle promettait de venir. C’était une déception que le garçon n’avait plus envie de ressentir. Travailleur, il s’impliqua dans ses devoirs, non plus pour rendre les adultes fiers mais, pour lui-même.  

Il n’était pas encore aux portes de l’adolescence lorsqu’il fut présenté à celle qui deviendrait sa belle-mère. C’était une nouvelle figure féminine à ajouter à celles qui gravitaient déjà autour de Diya et il eut bien du mal à l’accepter. Sa mère n’avait pas le temps pour lui mais en revanche, avait tout le temps du monde pour sa petite amie ? Le garçon en avait un goût amer au fond de la gorge et cela passa, au début, par le rejet pur et simple de cette personne. Il l’ignorait, l’évitait comme la peste puis, le temps fit son œuvre. A présent, Diya est ironiquement plus proche d’elle que de sa propre mère.

☾☾☾


Le pouvoir de Diya se déclara comme une tempête qui se lève ; soudain et brutal.
Il était dans l’année de ses douze ans, un gamin comme les autres. A ceci près qu’il avait de la frustration à relâcher et que cet autre garçon l’avait provoqué. Une bagarre d’enfants, c’est le genre de chose qui arrive, avec plus ou moins de brutalité, pas de quoi s’inquiéter. Diya était déjà assez mûr pour savoir gérer les rixes dans le calme mais, pas ce jour-là. Il se souvient de la colère, il se souvient de la douleur qui lui broyait les entrailles, sa peau qui brûlait et ses os qui se brisaient. Ce n’était pas les coups, non. Puis, il y avait cette faim.
Cette faim dévorante.
Et des cris.

Un monstre ! Un monstre ! qu’il entendait et pris peur. Où était le monstre ? Qu’est-ce qu’il s’était passé ? Des adultes étaient intervenus et Diya se senti tiré vers l’arrière. Il s’était énervé si fort qu’il n’avait rien vu venir, et ne se souvenait de pas grand-chose, ces personnes étaient venues pour les aider à se sauver de la créature ? Il ne sentait plus ses jambes, seulement de la douleur. C’est le monstre qui les avait brisées ? Cependant, en se rapprochant d’un bâtiment, Diya vit la Bête. Ses crocs, ses griffes, ses yeux et merde tout ce sang.

Puis il réalisa, le regard perdu dans l’effroi de sa contemplation dans le reflet.

C’était lui.
Le monstre.


Si Diya n’eut pas de problèmes, ce fut grâce à l’influence grandissante d’Aquaria. Par chance, les parents de l’autre garçon ne portèrent pas plainte, malgré la griffure sévère de ce dernier. Cela laisserait des traces pour sûr, mais au moins, on le rassura en lui disant qu’il ne perdrait finalement pas son œil. Ce n’était pas ce que Diya voulait. C’était un accident. Il n’était plus lui-même et, même calmé, Diya ne se reconnaissait plus dans le miroir. Des frayeurs nocturnes, quand il parvenait à s’endormir, le fait d’être suivi, surveillé, le fait d’avoir déçu. Il se rattraperait. Il utiliserait cette monstruosité pour aider les autres, comme sa mère le faisait avec son don.

C’est dans cette optique qu’il désira entrer dans l’école de Super de New Heaven.

☾☾☾


« Blue Beast ! C’est à toi ! »
L’interpellé lâcha le poids qu’il soulevait grâce à sa queue et retint un bâillement avant de rejoindre le terre-plein central de la zone d’entrainement. C’était toujours plus dur à certaines heures de la journée. L’épreuve du jour était de parvenir à toucher leur professeur, quand bien même celui-ci possédait un pouvoir de passe-muraille. Compliqué, quand aucun d’eux ne connaissaient le point faible de l’adulte. Les griffes plantées dans le sol, Diya déploya ses pattes soudainement en fonçant vers son adversaire. Il était rapide mais il ne parvint pas à comprendre le fonctionnement du don de leur professeur. Quand le bleu se retrouva à terre, il entendit une fille dire à un camarade de classe.

« C’est bizarre, je pensais qu’il serait plus fort. C’est le fils d’Aquaria quand même. »
« Attends, tu sais pas en plus, j’ai entendu qu’il serait aussi le fils de … »

« Silence ! C’est à votre tour, si vous avez le temps de discuter. » Malgré la honte que d’avoir mordu la poussière, Diya ne pouvait que mentalement remercier l’éducateur.

Peut-être était-il décevant, qu’il n’atteignait pas encore toutes les attentes que l’on désirait de lui mais, cela viendra. Par la sueur. Par son travail qui sera reconnu.

Et il deviendra un Super-Héros.

Capacités & équipements
Objet 1: Un masque semi-facial bleu sombre à visière orange qui atténue la luminosité du jour.
Pouvoir :
Diya est un animal, de façon littérale. Après une transformation hautement douloureuse, ses jambes sont des pattes à la forme singulière - elles peuvent faire penser à des pattes de kangourou -, munies de coussinets ainsi que de griffes rétractables acérées. Grâces à celles-ci, il se déplace à quatre pattes avec aisance et est capable de sprinter à une vitesse impressionnante, ainsi que de bondir amplement. Avec sa longue queue musclée - assez pour pouvoir s'accrocher brièvement et soutenir son propre poids - Diya est doué pour l'escalade et pour se déplacer rapidement. Comme l'animal qu'il est, ses crocs font une douloureuse morsure lorsqu'il ne se maitrise pas et une partie de ses sens sont plus sensibles que la plupart des humains. Son odorat, tout d'abord, ainsi que son ouïe sensible font de lui un pisteur hors pair. En revanche, son nez se perd lorsqu'il est dans un lieu où se mêlent trop d'odeurs fortes - la lavande le rend littéralement fou - et les ultra-sons le font atrocement souffrir. Ses yeux, quant à eux, - luminescents dans l'obscurité - possèdent une vision de nuit précise, contrebalancée par le fait que les fortes lumières - ou un jour trop ensoleillé - le rendent presque aveugle. D'un autre côté, son sens du goût est défaillant.

Malheureusement Diya doit vivre avec sa nature animale, celle dernière menaçant toujours de reprendre le dessus. En effet, sous le coup d'émotions fortes, ou quand il se sent en grand danger, l'instinct reprend le dessus, lui faisant perdre le sens des réalités humaines et le rendant purement sauvage. Et, avec le temps, le garçon ressent de plus en plus la présence de sa nature animale, comme si cette dernière prenait de l'ampleur. C'est bien évidemment quelque chose qu'il cherche à cacher au plus possible, ce serait terrible pour l'image de sa mère et il décevrait tout le monde s'il n'était pas à la hauteur de cette dernière. Diya est seulement conscient que, sous une crise d'angoisse, il pourrait s'attaquer à tous ceux qui se retrouveraient sur son chemin, ainsi, il refuse d'y céder et, pour l'heure, parvient à se maintenir dans un état relativement stable.
Costume :
Il porte une combinaison noire et bleue avec des longues manches, qui se termine en un short – pour laisser libre espace à ses pattes -. En journée, il porte un masque couvrant le haut de son visage et plus particulièrement ses yeux avec une verres orangés, celle-ci lui atténuant la luminosité trop forte du soleil pour lui permettre d'avoir une vision correcte.
Derrière l'écran
Pseudo: Charlie.
Comment nous as tu découvert: Par une dame bleue qui me garde en otage.
Age : 25 ans.


Dernière édition par Diya Messaoudi le Mar 19 Mar - 21:58, édité 2 fois






Benedict St Clair
Villain
Benedict St Clair
Messages : 26
Date d'inscription : 12/03/2019
-  Sujet: Re: Diya Messaoudi | Terminé   •  Lun 18 Mar - 22:46
Hé salut toi, ça gaze ? 8D






Diya Messaoudi
Hero
Diya Messaoudi
Messages : 29
Date d'inscription : 16/03/2019
-  Sujet: Re: Diya Messaoudi | Terminé   •  Mar 19 Mar - 12:02
Shhh, pas en public monsieur Embarassed






Destiny
Admin
Destiny
Messages : 133
Date d'inscription : 09/01/2019
Valide !Félicitation ! Tu es officiellement validé ! Te voilà fin prêt à affronter New Heaven et ses dangers ! Et ne t'inquiètes pas on fera attention à ce que ta maman ne soit pas trop mère poule (ou pas)! Je t'invite aller recenser ton avatar ici, ton alias si tu en as un  ici. Enfin, tu peux aller faire une demande de RP et faire ta fiche de lien.






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Diya Messaoudi | Terminé
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